La 11 de départ :
Jean-Mi
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Ilias
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Malco
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Clément M.
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Youn
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Sylvain
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Hamza
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Goeff
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Jerem
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Vadim
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Benjamin
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Thomas
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Charles
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Le match ne s'annonce pas comme une partie de Wii entre potes. D'entrée, Geoff se prend une boîte de la part du numéro 18. Du coup, il va évoluer tout le match avec une mâchoire en pièces détachées. Est-ce ce coup de pression qui fit peur aux Rojiblancos ? Toujours est-il que la première demi-heure n'est pas à la hauteur de ce qu'ils peuvent faire. Avec une justesse technique d'un pachyderme et une distance de marquage aussi grande que l'avenue des Champs-Elysées, PwC ne fait pas la différence alors qu’ils évoluent en supériorité numérique. Cela fait deux semaines de suite que Price ne force pas son destin à 11 contre 10. Cette fois-ci, il a fallu attendre un coup de pied arrêté de Thomas suivi d'un bon coup de casque de Jeremy pour forcer le verrou des cheminots. Le dernier quart d'heure se déroule mieux pour Price qui domine enfin son sujet. Ben et Charles font des misères sur le côté droit de la défense de Bleus. Pourtant juste avant la pause, les cheminots ont l'occasion de se remettre sur les rails. Le numéro 18 file vers les buts de Jean-Michel. Habillement, notre portier, au lieu de la jouer Neuer genre je reste debout jusqu'à la fin, nous l'a fait Benny Hill. Double glissade lors de sa prise d'appui et l'attaquant adverse ne trouve pas la faille face à cette posture pour le moins improbable et tape le poteau. Les Rojiblancos s'en sortent donc avec l'avantage au score à la pause.
Le scénario de la seconde période est assez ressemblant à celui de la première. Price fait plutôt le jeu mais se trouve trop maladroit dans la zone de vérité pour faire la décision. Mais les Rojiblancos se font prendre dans leur dos. L’ailier gauche prend la poudre d'escampette pour se présenter face à Jean-Michel. La parade de notre portier n'est pas suffisante pour empêcher l'égalisation. Tout est à refaire pour Price mais cette fois-ci, il faut le faire mieux. Pas comme sur cette action où en face en face, Charles veut la jouer collectif et décaler un coéquipier mais cela est intercepté par le portier. Sur le contre qui suit, les cheminots sont à deux doigts de punir PwC. Le numéro 23, Rodriguez (si !), vient buter sur Jean-Mi cette fois-ci bien sur ses appuis. Au final, c'est bien Price qui va prendre l'avantage sur un débordement de Charles qui remet pour Hamza. Notre ailier tope sa frappe mais la trajectoire devient une belle ogive qui trompe le gardien adverse. Malgré les réserves d'Ilias sur le style plutôt baroque, l'essentiel est fait pour les Rojiblancos. Il faut alors profiter de cet avantage pour placer le contre du break. C'est ce que les attaquants s'efforcent de faire mais c’est sans compter sur les qualités du portier adverse et surtout sur l'efficacité d'un Cavani des mauvais jours. Price ne prend pas le large malgré une grosse dizaine d’occasions franches. Ainsi plusieurs situations avantageuses sont ainsi manquées notamment par notre Capitaine qui a bouffé la feuille de match à lui tout seul. Et apparemment elle devait être bonne ; il s’y est d’ailleurs pris à plusieurs reprises. Price s'expose donc à une réaction des cheminots qui arrive sur coup de pied arrêté. Étrangement seul, l'attaquant place une tête lobée sous la barre de Jean-Michel. Par chance, l'arbitre n'avait pas donné son accord pour que les Bleus jouent le coup-franc. Il est donc a retiré. C'est un gros ouf de soulagement car la seconde tentative ne donne rien. La suite non plus car plus aucun but ne sera marqué.
PwC se qualifie donc pour le tour suivant par la plus petite des marges. Avec plus de sérénité et d'efficacité, cette marge aurait dû être plus grande. Mais l'essentiel c'est les 3... Heu, la qualification.
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