vendredi 4 juillet 2014

Lisbonne 2014

Vendredi 16 mai 2014 – 16h00 (heure de Paris)
Meeting point à l’aéroport pour la team PwC, pour un WE qui s’annonce sous les meilleures auspices : soleil, chaleur, ville de foot, hôte enthousiaste !


La compo de l’équipe est la suivante :
  • M. Sossou (ah non en fait il a annulé…) 
  • Youn, dit « Scout toujours prêt », dit « L’écrivain », dit « Edgar lunettes en plastiques » 
  • F. Raoul, dit « La légende », dit « L’homme du vendredi soir », dit « Fabien 3 verres »
  • Jerem dit « Adidas 87 », dit « Je peux proposer à mon père ? », dit « le ratisseur »
  • V. Gueniche, dit « l’anguille », dit « smartman »
  • D. Agopome, dit « la flèche », dit « l’acolyte musical de Youn »
  • C. Heinschild, dit « Captain », dit « frapator », dit « lisez les mails jusqu’au bout putain»
  • C. Vaillard, dit « le Vaillant », dit « la bonne pioche de fin de saison »
Le we commence par un petit verre prit à l’aéroport, la team profitant du vol pour recharger les batteries en vue du samedi soir matin ou réviser ses exams comptables (merci David de remonter le niveau intellectuel de cet équipe !).

Vendredi 16 juin 2014 – 19h00 (heure de Lisbonne)
A l’arrivée à Lisbonne, nous sommes accueillis par un monument à la gloire de Raoul, précédé par sa réputation du nord au sud de l’Europe…



Le dit « La légende » profite du trajet en limo métro pour nous faire partager sa technique dite « de l’escargot » ou encore «Franklin ».

Le trajet jusqu’à l’hôtel nous permet une première mise en jambes, Lisbonne ça grimpe ! Première épreuve pour la team qui fait parler sa légendaire solidarité, personne ne finira décroché dans la montée…

Vendredi 16 juin 2014 – 20h30 (heure de Lisbonne)
L’hôtel est spartiate mais agréable, rien d’ostentatoire à l’image du camp de base des Bleus pour la coupe du Monde. Les anciens blagueurs (inversement) étant absent, personne ne craint de retrouver du dentifrice dans son maillot ou autre inventivité de bon goût !
Premier diner dans un restaurant typique de la ville, au menu : sardines, morues et bonne humeur. Ca discute tactique pour le lendemain, préparation mentale, repérage pour la soirée…
La soirée commence dans le Bario Alto, quartier particulièrement animé de l’hôtel, ou le nombre de bars est inversement proportionnel à la largeur des rues ! Et les prix bien moins dissuasifs qu’à Paris !
Les discussions tournent évidemment autour de la physique quantique, des poèmes de Francky Ribery et l’équipe en profite pour faire connaissance avec un quartier… animé !
Nous ne nous attarderons pas sur les besoins inassouvissables de David en terme de nourriture, quand certains préfèreront se préparer pour le match, d’autres concluront la soirée dans des lieux de perdition !

Samedi 17 juin 2014 – 09h30 (toujours à Lisbonne)
Pour une fois le réveil n’a pas sonné trop tôt, le rdv est fixé à 11h00 non loin du mythique èstadio della Luz, l’antre du grand Benfica (dont Youn portait fièrement les couleurs – oui, il a réellement un maillot de tous les clubs au monde). Le départ se fait donc piano-piano, au rythme de la musique matinale de David !
                         
 
Sur place, la team est accueillie par Carlos, associé enthousiaste qui s’occupe de l’équipe locale. Qui d’ailleurs, disons le tout de suite, est aussi ponctuelle qu’Alex et Habib réunis…
Prévu à 11h00, le match ne démarrera réellement que vers midi, sous une chaleur préoccupante…
Les 7 parisiens sont mixés avec des joueurs du cru, afin de jouer une opposition dite à 11 contre 11. Les merengues s’organisent de manière originale, avec notamment une charnière centrale Charles + un benfiquiste, ne parlant ni français, ni anglais… C’est d’ailleurs une des caractéristiques des joueurs locaux, dont très peu parlent anglais. Ce qui rendra la communication intéressante, faite de beuglements et de grands gestes !!! Note : il aurait été intéressant de voir Carca et Loïc coordonner un hors-jeu dans de telles conditions.
Si le début de match est timide, la team « Paris » prend globalement le contrôle des débats, avant de s’installer progressivement dans le camp adverse. Compte tenu de la très forte chaleur, il est difficile d’envoyer du jeu. Après quelques offensives poussives, les merengue prennent l’avantage, et doublent la mise sur un beau mouvement propulsion du Captain pour Vadim qui perfore à droite et trouve le Pauleta du jour qui transperce le gardien !
Les espaces s’ouvriront au fur et à mesure que le soleil entamera les forces de l’ensemble des 22 acteurs. Lisbonne parviendra à réduire le score mais Paris trouvera une 3e fois la faille pour une victoire logique.

Samedi 17 juin 2014 – 13h30
Si le match s’est déroulé dans un excellent état d’esprit, le meilleur reste à venir !!! Carlos a réservé dans un restaurant typique à quelques encablures du stade, et nous invite pour un déjeuner mémorable !
Ambiance fraîche (très attendue après la chaleur du terrain), serveurs aux petits soins (les bières arrivent à un rythme effréné), et dégustation de viandes choisies par Carlos.
Le tout se révèle délicieux, et Carlos nous rappelle furieusement notre préparateur physique : Geoff. Même gouaille, bonne humeur, blagues, approche de la vie nocturne, le tout non altéré par le poids des ans…

Ce festin a remis l’équipe sur les bons rails, il est 16h00.
L’heure de remercier Carlos (qui nous distillera au passage quelques conseils pour l’après-après match), et de se diriger vers les dockechs’, pour regarder dans un suspens insoutenable la mise à mort du Barça (dédicace à Philou) ! Et enchainer dans la foulée sur un improbable sacre d’Arsenal, qui met fin à une période de disette à laquelle PwC pourrait bien réfléchir concernant son propre palmarès…

Samedi 17 juin 2014 – 21h00
Après la traditionnelle sieste, départ pour un nouveau restaurant (encore ! me direz-vous), choisi par notre guide et grand organisateur du voyage : Jeremy ! Petite place en ville, bon restau, les télés sur la place diffusent PSG-Montpellier (tout se passe bien au Parc, on peut dîner). 


Après s’être restauré, Team PwC décide donc de se laisser happer par Lisbon by night. Première halte dans un bar où un groupe joue l’intégrale de Bon Jovi pour le grand bonheur de Youness qui, malgré ses airs de gangsta d’Harlem, se révèle être un grand fan du band. La place en terrasse n’étant idoine étant donné le vent, l’équipe se rend à l’intérieur d’un bar anglais. On y croise alors 3 potes à Fabien se croyant en plein milieu de Temple Bar ou Edimbourgh. A demi-vêtu, ils appâtent le chaland pour les rejoindre dans leur antre. Il commence à se faire tard et l’équipe se divise en deux catégories : il y a ceux qui ont les batteries chargées pour continuer et ceux qui rentre se coucher. Jeremy, David, Vadim et Youness sont de la première catégorie. 
Aussi vite qu’une remontée de Loïc pour jouer le hors-jeu, ils embarquent dans un taxi qu’ils les amènent au Lux, endroit fortement recommandé. Problème, Vadim est en basket. Qu’importe rien ne peut arrêter les warriors. Le physio ne pose pas de problème et voilà les 4 amigos dans un ancien entrepôt transformé une grande boîte lounge. Le décor est super sympa, la fréquentation est plutôt attractive sauf que le DJ se croit dans son salon. La musique n’est pas suffisamment entrainante pour que le trident enflamme le dancefloor. Les 4 lascars préfèrent rentrer estimant leur travail d’ambianceurs mené à bien. 

Pour des raisons éthiques et déontologiques, la fin de l’article a fait l’objet d’une autocensure … c’est mieux ainsi !


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