Vendredi 16 mai 2014 – 16h00
(heure de Paris)
Meeting point à l’aéroport pour
la team PwC, pour un WE qui s’annonce sous les meilleures auspices :
soleil, chaleur, ville de foot, hôte enthousiaste !
La compo de l’équipe est la
suivante :
- M. Sossou (ah non en fait il a annulé…)
- Youn, dit « Scout toujours prêt », dit « L’écrivain », dit « Edgar lunettes en plastiques »
- F. Raoul, dit « La légende », dit « L’homme du vendredi soir », dit « Fabien 3 verres »
- Jerem dit « Adidas 87 », dit « Je peux proposer à mon père ? », dit « le ratisseur »
- V. Gueniche, dit « l’anguille », dit « smartman »
- D. Agopome, dit « la flèche », dit « l’acolyte musical de Youn »
- C. Heinschild, dit « Captain », dit « frapator », dit « lisez les mails jusqu’au bout putain»
- C. Vaillard, dit « le Vaillant », dit « la bonne pioche de fin de saison »
Le we commence par un petit verre
prit à l’aéroport, la team profitant du vol pour recharger les batteries en vue
du samedi soir matin ou réviser ses exams comptables (merci David de
remonter le niveau intellectuel de cet équipe !).
Vendredi 16 juin 2014 – 19h00
(heure de Lisbonne)
A l’arrivée à Lisbonne, nous
sommes accueillis par un monument à la gloire de Raoul, précédé par sa
réputation du nord au sud de l’Europe…
Le trajet jusqu’à l’hôtel nous
permet une première mise en jambes, Lisbonne ça grimpe ! Première épreuve
pour la team qui fait parler sa légendaire solidarité, personne ne finira
décroché dans la montée…
Vendredi 16 juin 2014 – 20h30
(heure de Lisbonne)
L’hôtel est spartiate mais
agréable, rien d’ostentatoire à l’image du camp de base des Bleus pour la coupe
du Monde. Les anciens blagueurs (inversement) étant absent, personne ne craint
de retrouver du dentifrice dans son maillot ou autre inventivité de bon
goût !
Premier diner dans un restaurant
typique de la ville, au menu : sardines, morues et bonne humeur. Ca discute
tactique pour le lendemain, préparation mentale, repérage pour la soirée…
La soirée commence dans le Bario
Alto, quartier particulièrement animé de l’hôtel, ou le nombre de bars est
inversement proportionnel à la largeur des rues ! Et les prix bien moins dissuasifs
qu’à Paris !
Les discussions tournent
évidemment autour de la physique quantique, des poèmes de Francky Ribery et
l’équipe en profite pour faire connaissance avec un quartier… animé !
Nous ne nous attarderons pas sur
les besoins inassouvissables de David en terme de nourriture, quand certains préfèreront
se préparer pour le match, d’autres concluront la soirée dans des lieux de
perdition !
Samedi 17 juin 2014 – 09h30
(toujours à Lisbonne)
Pour une fois le réveil n’a pas
sonné trop tôt, le rdv est fixé à 11h00 non loin du mythique èstadio della Luz,
l’antre du grand Benfica (dont Youn portait fièrement les couleurs – oui, il a
réellement un maillot de tous les clubs au monde). Le départ se fait donc
piano-piano, au rythme de la musique matinale de David !
Sur place, la team est accueillie
par Carlos, associé enthousiaste qui s’occupe de l’équipe locale. Qui
d’ailleurs, disons le tout de suite, est aussi ponctuelle qu’Alex et Habib
réunis…
Prévu à 11h00, le match ne démarrera réellement que vers midi, sous une chaleur préoccupante…
Prévu à 11h00, le match ne démarrera réellement que vers midi, sous une chaleur préoccupante…
Les 7 parisiens sont mixés avec
des joueurs du cru, afin de jouer une opposition dite à 11 contre 11. Les
merengues s’organisent de manière originale, avec notamment une charnière
centrale Charles + un benfiquiste, ne parlant ni français, ni anglais… C’est
d’ailleurs une des caractéristiques des joueurs locaux, dont très peu parlent
anglais. Ce qui rendra la communication intéressante, faite de beuglements et
de grands gestes !!! Note : il aurait été intéressant de voir Carca
et Loïc coordonner un hors-jeu dans de telles conditions.
Si le début de match est timide,
la team « Paris » prend globalement le contrôle des débats, avant de
s’installer progressivement dans le camp adverse. Compte tenu de la très forte
chaleur, il est difficile d’envoyer du jeu. Après quelques offensives poussives,
les merengue prennent l’avantage, et doublent la mise sur un beau mouvement
propulsion du Captain pour Vadim qui perfore à droite et trouve le Pauleta du
jour qui transperce le gardien !
Les espaces s’ouvriront au fur et
à mesure que le soleil entamera les forces de l’ensemble des 22 acteurs. Lisbonne
parviendra à réduire le score mais Paris trouvera une 3e fois la
faille pour une victoire logique.
Samedi 17 juin 2014 – 13h30
Si le match s’est déroulé dans un
excellent état d’esprit, le meilleur reste à venir !!! Carlos a réservé
dans un restaurant typique à quelques encablures du stade, et nous invite pour
un déjeuner mémorable !
Ambiance fraîche (très attendue
après la chaleur du terrain), serveurs aux petits soins (les bières arrivent à
un rythme effréné), et dégustation de viandes choisies par Carlos.
Le tout se révèle délicieux, et
Carlos nous rappelle furieusement notre préparateur physique : Geoff. Même
gouaille, bonne humeur, blagues, approche de la vie nocturne, le tout non
altéré par le poids des ans…
Ce festin a remis l’équipe sur
les bons rails, il est 16h00.
L’heure de remercier Carlos (qui
nous distillera au passage quelques conseils pour l’après-après match), et de
se diriger vers les dockechs’, pour regarder dans un suspens insoutenable la
mise à mort du Barça (dédicace à Philou) ! Et enchainer dans la foulée sur
un improbable sacre d’Arsenal, qui met fin à une période de disette à laquelle
PwC pourrait bien réfléchir concernant son propre palmarès…
Samedi 17 juin 2014 – 21h00
Après la traditionnelle sieste,
départ pour un nouveau restaurant (encore ! me direz-vous), choisi par notre
guide et grand organisateur du voyage : Jeremy ! Petite place en ville, bon
restau, les télés sur la place diffusent PSG-Montpellier (tout se passe bien au
Parc, on peut dîner).
Après s’être restauré, Team PwC
décide donc de se laisser happer par Lisbon by night. Première halte dans un
bar où un groupe joue l’intégrale de Bon Jovi pour le grand bonheur de Youness
qui, malgré ses airs de gangsta d’Harlem, se révèle être un grand fan du band.
La place en terrasse n’étant idoine étant donné le vent, l’équipe se rend à
l’intérieur d’un bar anglais. On y croise alors 3 potes à Fabien se croyant en
plein milieu de Temple Bar ou Edimbourgh. A demi-vêtu, ils appâtent le chaland
pour les rejoindre dans leur antre. Il commence à se faire tard et l’équipe se
divise en deux catégories : il y a ceux qui ont les batteries chargées
pour continuer et ceux qui rentre se coucher. Jeremy, David, Vadim et Youness
sont de la première catégorie.
Aussi vite qu’une remontée de Loïc
pour jouer le hors-jeu, ils embarquent dans un taxi qu’ils les amènent au Lux,
endroit fortement recommandé. Problème, Vadim est en basket. Qu’importe rien ne
peut arrêter les warriors. Le physio ne pose pas de problème et voilà les 4
amigos dans un ancien entrepôt transformé une grande boîte lounge. Le décor est
super sympa, la fréquentation est plutôt attractive sauf que le DJ se croit
dans son salon. La musique n’est pas suffisamment entrainante pour que le
trident enflamme le dancefloor. Les 4 lascars préfèrent rentrer estimant leur
travail d’ambianceurs mené à bien.
Pour
des raisons éthiques et déontologiques, la fin de l’article a fait l’objet d’une
autocensure … c’est mieux ainsi !
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