Pour débuter les hostilités :
PAM
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Julien
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Ilias
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Gatien
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Clément M
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Youn
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Jérém
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JB Chenut
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Geoff
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Samir
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Tomas
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Hamza
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Charles
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Alex
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Dès le début du
match, PwC veut imposer sa marque à base de technique et de dribbles. Non c'est
une blague. Sauf pour Geoff qui est on fire dès le début du match. Sur la
première situation chaude pour HEC, il enchaîne retour décisif, feinte de
passe, crochet court et relance propre. Oui tout ça dans la même action devant
les yeux incrédules de ses coéquipiers. Les 10 autres joueurs se mettent au
diapason alors.
Peu de temps
après Hamza lance Alex dans le dos de la défense qui enchaîne avec une frappe
sèche de demi-volée. Cela fait déjà 1-0 et cela va trop vite pour les jeunots
sûrement en train de décuver d'une soirée open bar. Charles profite de cette
supériorité pour trouver une nouvelle fois Alex dans la profondeur. Le numéro
11 efface le portier et se fait griller la politesse par Hamza au moment de
finir le travail.
HEC est en
train de vivre en very bad trip sévère. Et cela ne va pas s'arranger quand, de
25/30 mètres, Geoff, décidément audacieux, tente une frappe lointaine. Celle-ci
non seulement accroche le cadre mais passe au-dessus du gardien. La NASA étudie
encore la balistique de la gonfle pour s'assurer que Geoff voulait bien frapper
et non faire une ouverture vers Alex.
Au prix d'une
demi-heure mené en mode "je défouraille à tout va", Price va
s'endormir sur ses lauriers. L'ailler droit dépose Youness pour exécuter le
fameux centre en retrait. Arme redoutable mais il faut 2 tentatives à HEC pour
la convertir en but. Les Blancs d'HEC continue sur leur lancée et profite des
largesses de la défense notamment dans la profondeur pour revenir à un but.
Clément proteste affirmant qu'il s'est fait accroché et empêché dans son
intention d'intervention. On sait pourtant qu'il n'ose pas avouer qu'en vrai
qu'il s'est fait un auto croche-pied,
#jesuisravanelli. PwC semble fragiliser ses fondations pourtant les
bases étaient très prometteuses. Alors Papa Jerem décide de remettre de l'ordre
dans la maison. Il profite de la déviation d'Alex pour s'amener le ballon du poitrail
et filer droit au but. Il conclut cette action solitaire avec sang-froid et
redonne une bouffée d'oxygène à Price.
Après une mise
en route un peu plus difficile à la reprise, PwC va dérouler. Autant en
première période, les Rojiblancos ont récité leurs gammes (avec quelques temps
faibles), autant la seconde ressemble à un set de DJ Jungle sous acide. Les
courses de JB donnent le tempo et sèment le chaos dans la défense d'HEC. Même
si Price ne concrétise que très peu ses innombrables situations favorables, les
blancs voient autant le jour qu'un finlandais au solstice d'hiver. Certains
prennent même la confiance. Après avoir vu PAM œuvré avec brio avec sa patte
gauche, Youn tente aussi une ouverture brossée du gauche : résultat,
sortie de but. Nonobstant quelques mauvais choix dans l'approche finale, PwC va
marquer 2 autres buts. D'abord sur un coup-franc où le portier relâche le
ballon dans les pieds de Charles. Le capitaine ne se fait pas prier pour
marquer un but aussi moche que Pius N'diefi. Le second but viendra récompenser
le gros match de JB à une vingtaine de minutes du coup de sifflet final.
6-2, jeu set et
match PwC. A part le trou au milieu de la première période, les Rojiblancos ont
survolé les débats autant physiquement que techniquement. Alors même si ce
n'est qu'un amical, cela fait zizir de voir tous ces sourires en fin de match.
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