Il assiste donc au
début de rencontre du banc. Et d'emblée, il voit que quelque chose ne va pas.
Pourtant les Meringues viennent de foutre une trempe à CSC. Mais ils sont dominés
de la tête et des épaules par les Jaunes et Noirs d'EY. La relance de derrière
est particulièrement difficile, le pressing adverse et intense et le terrain
peu praticable ne permet pas de jouer proprement. Ajoutons à cela, les
imprécisions techniques et cela donne une équipe de Price sur la défensive et sans imagination. Du
coup, Ernst en profite, occupe l'espace et trouve de nombreux décalages. Sur une chiche venant de derrière,
l'arrière garde de PwC ne va pas au duel : j’y vais, j’y vais pas … Et le
numéro 17 dévie pour le numéro 10 lancé et profitant du mouvement ou plutôt du
non mouvement des « non alignés » de la défense. Il s'en va donc
battre Jean-Mi d'une frappe sèche. Malgré ce but, Price a du mal sortir de sa
léthargie. L'entrée de Charles sur le pré vert (et marron) réveille un peu
l’encéphalogramme, mais juste un peu ! Sur son premier ballon, il se
procure une belle situation de frappe qui n’aboutira pas. Le temps pour EY de
doubler la mise. Adrien se fait chiper la balle sur une relance anodine sur son coté droit, l'attaquant adverse résiste au retour de Loïc, évite jean-mi et va
punir Price pour ses errements. La fin de la première mi-temps est plus disputée, les Meringues retrouvent du fond de jeu. Ils ont même quelques occasions pour se refaire la cerise et entretenir l'espoir. La plus nette est pour Henri qui récupère une balle repoussée par le gardien et sa barre transversale à 5 minutes du repos, mais sa reprise instantanée à 3 mètres du but vide, passe légèrement à coté … décidément rien ne réussit
aux blancs ce samedi matin !
A la pause, Geoff tente
de nous la faire façon Air Drier pour tenter et muscler notre jeu face à ces
marsupiaux qui sont bien plus agressifs et surtout en avance de 2 buts sur les joueurs de
PwC.
De retour sur le terrain, le visage affiché par
Price est bien meilleur. Le match est plus équilibré, Price arrive même à faire
vaciller EY en enchaînant les temps forts. Grégoire, Jérémy, Charles, David se succèdent dans les frappes au
but. Mais rien n'est concrétisé. Pire, les Meringues vont payer se manque de réalisme et se faire transpercer
par deux fois. Sur une nouvelle longue balle, le numéro 10 prend la défense de vitesse
et ajuste Jean-Mi. Le 4e but est un peu du même acabit. La contre-attaque est
d'abord stoppé par l'arrière-garde meringue, avant que l'attaquant ne la
reprenne victorieusement d'une frappe de loin.
Price s'incline donc
lourdement et continue son yoyo dans les résultats. Cette défaite est d'autant
plus douloureuse qu'il ne s'agissait pas de la meilleure équipe d'EY et que les
joueurs PwC ont péché là où auparavant ils faisaient la différence : le
physique, l’engagement et la solidarité ! La remise en cause est de
rigueur, il est nécessaire de revenir aux fondamentaux. EY a été beaucoup plus
déterminée que Price qui maintenant doit panser ses plaies en vue des
prochaines échéances.
NB : Pour poster un message sur le blog :
1) Vous écrivez votre message
2) Dans "sélectionner le profil", vous
choisissez "Nom/URL" et vous remplissez juste le champ
"Nom" par votre prénom
3) Valider votre message en appuyant sur le
bouton "Publiez un commentaire"
Tellement dommage cette défaite !
RépondreSupprimerJe dois revenir museler ce numero 10 d'EY! - Pat
RépondreSupprimerIl était même pas là le 10...
SupprimerOn a déjà joué des EY plus fort
"Geoff tente de nous la faire façon Air Drier" j'aurais bien aimé voir ça ! J'avoue si on se fait battre dans la combativité ça n'a pas du plaire au trésorerier qui n'en avait plus pour ses deniers.
RépondreSupprimer