Jeremy
|
Banc :
|
|||||
Alain
|
Douglas
|
Fabrice
|
Youness
|
Youssef
|
||
Will
|
Charles
|
Samir
|
Ilias
|
Vadim
|
||
Ben
|
||||||
Alex
|
Pour éviter de
voir le scénario catastrophe de la semaine dernière se reproduire, PwC attaque
le match au taquet comme un bon concert de Johnny. Ce samedi, les Rojiblancos
veulent faire danser les diables et les dieux et les Condors tant qu'ils le
peuvent. Le début du match est plutôt équilibré avec deux bons blocs qui
s'opposent comme un bon vieux match de liguain du dimanche après-midi. Price
décide alors de passer la vitesse supérieure.
Alex parvient à
se retourner et adresser un bon petit centre vers Will. Ce dernier loupe la
balle mais Charles au second poteau lui donne une seconde chance. Dans son
style inimitable, c'est-à-dire en taclant, Will marque le premier but de la
rencontre. Ce but sanctionne une partie maîtrisée pat les Rojiblancos. Les
Condors sont un peu en retard sur chaque action ce qui leur fait commettre des
fautes. Néanmoins, Gilbert Montagné ... heu l'arbitre ne voit rien. Alors que
rien ne semble vraiment troubler le match des Rojiblancos, ces derniers nous
font le coup de la panne.
Dans le dernier
quart d'heure, PwC se fait doubler par les joueurs en noirs. D'abord, sur un
coup-franc bien placé dans le soupirail de Jeremy. Ensuite, un laisser-aller
général conduit au deuxième but peu de temps après. A la mi-temps, les
Rojiblancos se demandent bien comment et pourquoi ils sont menés.
Le capitaine
remobilise les troupes mais cela ne se concrétise pas par un déluge d'occasions.
Plus le temps avance, plus PwC décide de jouer long pour Alex. Concrètement,
c'est du "je balance devant et j'attends qu'Alex la récupère, la garde,
drible toute la défense et marque d'une pichenette". Bref, sans mettre en
doute les qualités de notre numéro 11, c'est caillou comme mission. Alors Price
passe au plan B, c'est-à-dire une sorte de hourra football. Charles fait parler
sa science (ou inconscience) tactique, et nous place Vadim latéral et Youn en
défense central. Et cela a le mérite d'embrouiller les Condors alors que
l'arbitre, comme un vulgaire De Ciegle, est totalement dépassé. Il ne voit pas
la main (assez nette il faut l'avouer) de Douglas qui lui permet de contrôler
la balle avant de lancer Ben dans la profondeur. Le centre de ce dernier est
une douceur qui embrasse le crâne d'Alex seul face à but. Si l'action est
magnifique, la finition est un poil chateuse car le ballon lèche le poteau
avant de rentrer. Mais PwC n'est pas satisfait et pousse pour forcer la
décision mais le temps imparti est terminé.
Comme le veut
l'adage, si tu ne peux pas gagner un match, il faut ne pas le perdre. C'est ce
que Price s'est évertué à faire grâce au mental et à la solidarité d’une belle
équipe. Même si l'équipe peut être quelque peu déçue, il faut aussi dire que ce
n'était pas des culs-de-jatte en face. Samedi prochain se profile le classique,
le top-spiel, le crunch : EY !! Alors face à nos meilleurs ennemis, nul ne
doute qu'il faudra encore élever le niveau pour ne pas repartir comme
Jean-Claude Dus, sans scorer.
NB : Pour poster un message sur le blog :
1) Vous
écrivez votre message
2) Dans
"sélectionner le profil", vous choisissez "Nom/URL" et vous
remplissez juste le champ "Nom" par votre prénom
3) Valider
votre message en appuyant sur le bouton "Publiez un commentaire"
Dommage... L'absence de certains défensifs a entraîné le repositionnement (relativement défectueux) d'éléments offensifs dans le cœur du jeu. Manque d'impact à la récupération en première mi-temps.
RépondreSupprimerQuelques occasions sauvées par les Condors à l'arrachée, et 100% de réussite pour ces derniers : 2 tirs, 2 buts...
On travaille la concentration cette semaine!!! 10mn d'absence = 2 buts encaissés...