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Jérém
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Ilias
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Aurélien
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Doug
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Youn
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Clément H
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Benj
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Hamza
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Alex
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Charles
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Will
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Refusant de connaître le même
sort, les joueurs d'IBM mettent de l'impact dès le début du match. Ça presse
fort et ça va au duel. A l'image de ce premier carambolage impliquant Youness
et l'ailier droit. D'aucuns pensent au terrible choc à Milan où Taoufik y a
laissé sa pommette, mais là ce n'est "que" l'arcade qui est touchée.
Le latéral gauche est obligé de laisser ses coéquipiers évoluer à 10 le temps
d'arrêter le saignement.
A son retour, on se rend compte
qu'il n'y a pas laissé que son arcade mais également son cerveau et ses jambes
et qu'il prend sa pire imitation de Benjamin Mendy. Cependant, il a un sérieux
concurrent au challenge du boulet du match en la personne de Clément dont les
passes pourraient faire une bonne compil de Benny Hill. Mais c'est bien après
un dégagement de poussin de Youn que PwC concède l'ouverture du score. Le
contre favorable profite à l'ailier droit qui effectue un remarquable centre
conclut par une tête pleine de sang-froid.
Les Rojiblancos n'y sont
clairement pas. Ils passent d'ailleurs tout près de la correctionnelle quelques
minutes plus tard mais Jeremy sauve les siens de la cata par une belle sortie.
A l'instar d'une chanson de Booba, PwC est proche du vide mais c'est à ce
moment que s'opère le rebond. Sur une touche longue, Charles joue de son corps
comme sur le dancefloor pour prolonger la gonfle. Celle-ci parvient à Will (who
else ?!) qui remet les pendules à l'heure en deux temps. Bon an mal an, Price
atteint la pause avec ce score de parité.
Rien n'y est. Pas de rythme, une
technique Rolandesque, une intensité mesurée... Le jeu de Price a la tristesse
d'un orphelinat en Moldavie. Le capitaine pousse une gueulante logique pour
réveiller les troupes.
Effectivement, à la reprise il y
a du mieux. Pas tant dans l'utilisation du cuir mais plus au niveau de la
récupération. Le danger est plus aux portes de la surface des Jaunes que celles
des Rojiblancos. Mais les premiers ne lâchent pas l'affaire. Ils se montrent
les premiers dangereux. Ils développent une belle action côté droit suivie par
une frappe un peu mollassonne. Pas assez pour Aurélien qui nous réalise une
Arconada en mode "j'ai... j'ai plus !!" mais Doug est vigilant et
dégage la gonfle sur la ligne. Cet avertissement est sérieux mais sera le
dernier. Les Rojiblancos ont retenu la leçon et vont faire la différence. Et
comme c'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures confitures, ils vont
nous gratifier d'un but des plus classiques. Charles lance Benjamin
"Alex" Button en profondeur qui distance son défenseur et bat le
portier d'une frappe du gauche sans coup férir.
Ce but a le don d'énerver les
Jaunes qui additionnent les fautes et contestations. De son côté PwC
multiplient les mauvais choix à tel point qu'ils pourraient faire 3 émissions
de XXXX avec pour thèmes je passe alors que je dois frapper ou encore je fais
roulette-frappe quand je dois décaler mon coéquipier esseulé...Et quand ce
n'est pas la maladresse, c'est la réussite qui fuit les Rojiblancos à l'instar
de la frappe d'Alex qui lèche le montant droit après l'excellent service de
Charles. Derrière c'est solide et cela ne laisse même pas des miettes aux
attaquants d'IBM.
Bon, qu'on se le dise : ce fut un
bon match de merde. D'aucuns diront que l'essentiel est la victoire dans ce
genre de traquenard. Néanmoins, les tronches abattues et le silence coupable
des joueurs à la fin du match témoignent qu'aucun n'a pris de plaisir. En
direct des urgences de la Pitié-Salpêtrière je vous rends l'antenne et j’attends
qu’on me finisse mes 4 points de suture !
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