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JeanMich
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Geoff
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Ilias
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Jérém
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Clément M
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Youn
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Will
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JB
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Doug
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Benj
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PAM
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Thom
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Charles
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PwC éprouve quelques difficultés
à mettre la machine à route. Durant les 20 premières minutes, les Rojiblancos
dominent et harcèlent l'adversaire mais jouent plutôt à gagne-terrain que
vraiment au foot. On sent la tension qui rend les guiboles des joueurs de PwC
quelque peu fragiles. Passée cette appréhension, Price va s'installer dans le
match. Celui-ci est débloqué par un coup de pied arrêté. Le coup de pied de
coin tiré de la droite vers la gauche par PAM est repris victorieusement par
Doug. Le match des Rojiblancos est enfin lancé. Les Blancs ne s'en sortent plus
et subissent de plus en plus de situations périlleuses devant leur cage. De
l'autre coin, Thomas tire un deuxième corner rentrant. Celui-ci est tellement
brossé que la trajectoire surprend le gardien qui s'emmêle les pinceaux et
réalise une jolie toile sur ce deuxième but. A partir de là, PwC va dérouler et
terminer la mi-temps en faisant aussi mal qu'un crochet de Tyson sur un
nourrisson.
Pourtant tout part d'une tête
défensive affreuse de Karim Youness Rekik. Elle est remise pleine axe mais
Jeremy puis PAM parviennent à éloigner le danger. La gonfle est orientée côté
droit pour Tom qui remet sur Charles qui lance Ben dans l'intervalle, plein
axe. Ce dernier se prend pour Benjamin Millepied et se la joue ballerine pour
prolonger devant la surface vers PAM sur un pas tout en touché. Après une
remontée de 50 mètres, notre ailier gauche réussit à caler une frappe chirurgicale
au ras du poteau. C'est JOGA BONITO !!! On frise l'orgasme footballistique sur
cette construction de but splendide. Celle du 4e but l'est aussi. Tout part une
nouvelle fois du côté droit où Ilias trouve Ben dans la profondeur.
Intelligemment, il remet vers Charles tout seul dans l'axe. Le capitaine a le
temps de contrôler, de se remémorer tous les loupés de Cavani dans pareille
situation pour ne pas faire comme lui c'est-à-dire marquer. Price est
totalement dans son match et étouffe les joueurs du CACL.
A la mi-temps, l'écart est grand
entre les deux équipes et tout le monde semble satisfait. Sauf Jean-Mi qui se
demande s'il était bien utile qu'il se lève ce samedi matin. On ne sait si
c'est une crise de melonite aiguë ou une fatigue précoce, toujours est-t-il que
la reprise du jeu est plutôt difficile pour PwC. Clairement, les Rojiblancos se
laissent aller comme un mannequin devenu trop gros ce qui permet au CACL
d'avoir plus de marge de manœuvre. Plusieurs fois, les milieux peuvent toucher
leurs attaquants en profondeur. A force de jouer avec le feu, PwC se brûle.
Lancé sur le côté droit, l'ailier remet vers le numéro 11 et enchaîne avec le
contrôle qu'il faut pour conclure malgré la sortie de Jean-Michel.
Ce but permet à Price de
reprendre ses esprits et sa marche en avant. PwC strikes back. Sur un autre
corner, Thomas dépose la gonfle sur le crâne de Will aussi seul que le PSG en
tête de la liguain. L'attaquant ne se fait pas prier pour ajouter son nom sur
la table de marque. Price reprend confiance et se met à tenter des gestes fous
à l'instar de Geoff qui enchaîne un magnifique contrôle en aile de pigeon...
Avec un lob du genou tout pété.
Plus le temps avance, plus le jeu
de PwC ressemble au programme du PS : sans plus aucune cohérence. Mais les
occasions (gâchées) se succèdent ! Pourtant, les Rojiblancos vont en
profiter pour scorer une dernière fois. Comme un ouragan qui est passé sur la
défense des Blancs l'accélération de JB a tout emporté. A l'instar de la vie
amoureuse de la princesse de Monaco, la finition est moins réussie. La frappe
est détournée par le portier mais finit néanmoins par rentrer. Par la même, ce
but met un point final à ce match.
En mode Djokovic, Price l'emporte
à nouveau 6 buts à 1. Ce résultat sent bon la montée. Il ne reste plus aux
Rojiblancos de finir le travail et de s'autoriser quelques frissons en coupe.
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