Le championnat reprend avec un
Top-Spiel tel un Bayern Munich / Borussia Mochenglabach des Seventies. On
entend déjà les protège-tibias s'entrechoquer, les maillots se tirer, les
joueurs s'invectiver.
Les 11 gars sensés mettre la
machine en route sont :
Jean-Mi
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Alhousseini
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Ilias
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Fabien
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Clém M
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Youn
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Gabi
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Loïc
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Doug
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Thom M
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Youss
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Hugo
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Thom T
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Charles
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Comme on le pressentait, le match
commence par une grosse bataille physique. Les deux parties veulent remporter
la bataille de la Terre du Milieu car les défenses ont d'abord pris le pas sur
les attaques. Pour autant, FIPS a une arme redoutable en sa possession :
le jeu long de son défenseur, le numéro 14. Malgré plusieurs alertes, PwC se
fait piéger par une de ses longues transversales. Le numéro 8 prend alors la
défense à revers. En plus de cet avantage, les verts de FIPS bénéficient de
plusieurs contres favorables ce qui permet au numéro 10 de scorer après cette
partie de billard. Les Rojiblancos ne se désunissent pas mais ne réussissent à
inquiéter vraiment le portier de FIPS. A la mi-temps, Price est à la traîne
mais rien n'est encore perdu
Pourtant, peu à peu, Price va
perdre le fil du match et sa volonté d'en découdre va s’effilocher en même
temps que la concentration. Sur un coup-franc à mi-distance, c'est le numéro 11
qui échappe à la défense et devance la sortie de notre gardien pour planter le
deuxième but tôt dans la seconde période. PwC perd pied autant que ses nerfs.
FIPS le sent bien et multiplie les fautes. Price ne répond que par bavardages
et complaintes inutiles envers l'arbitre. Du coup, les verts profitent encore
de la profondeur pour marquer le 3e but avec l'aide du poteau. PwC ne ressemble
plus à rien tel un mannequin devenu trop gros. Le 4e but est l'illustration de
ce renoncement mental et physique. Sur une touche assez anodine, et malgré
l'aide de Fabien, Youness se fait posséder par l'ailier qui peut centrer. Après
un nouveau concours de circonstances, FIPS fait trembler les filets. Le score
est lourd : 4 pions à rien. Mais il illustre autant que cette fin de match
sans conviction les lacunes de Price.
Dans un match qui fleurait bon le
duel psychologique, PwC a flanché dans les têtes et dans les jambes comme un
tennisman français. Price doit élever son niveau mental pour ne pas finir comme
un vulgaire Yoann Gourcuff.
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