Jean-Mi
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Marzouck
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Ilias
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Loïc
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Clémt M
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Youn
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Malcom
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Thom T
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Hugo
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Vadim
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Youss
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Doug
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Alex
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Comme attendu, la gonfle est
monopolisée par les Rojiblancos. Price veut profiter à plein de sa supériorité
numérique. En base arrière, le cuir circule bien. Cependant, cela pêche un peu
en phase offensive. Comme un puceau, PwC a tendance à partir trop vite. Au lieu
de s'appliquer dans la construction, les Rojiblancos confondent souvent vitesse
et précipitation. Alors, PwC ne se crée pas pléthore d'occasions. La plus
importante vient d'un corner botté par Thomas. Idéalement placé, Clément
reprend la gonfle... presque trop bien car elle échoit directement dans les
gants du portier adverse. De l'autre côté, Jean-Mi vient d'allumer un réchaud
parce que le ballon il n'en pas vu en seul en première période.
Malgré le score nul et vierge, le
discours est constructif à la pause et l'équipe est un peu restructurée afin de
maintenir Natixis sous pression. Et c'est le cas car le second acte est plus
animé. Thomas se retrouve en face à face avec le gardien et choisit de le
contourner. Mal lui en pris car, au prix d'une belle sortie, le portier de
Natixis remporte son duel. Bref, Thomas a connu ce que rencontre Cavani tous
les week-ends. Peu de temps après, c'est Hugo qui se retrouve dans une
situation similaire. Il choisit l'option mi-frappe mi-centre ce qui est donc
trop croisée pour atteindre les filets et pas assez pour trouver Marzouk au
second poteau. Même si le jeu n'est pas d'une fluidité parfaite, les
Rojiblancos prouvent donc qu'ils sont capables de se procurer des belles
opportunités. Encore un exemple ? Sur un bon centre de Clément, la reprise de
volée de Will présent au second poteau ne réussit pas à attraper le cadre.
Natixis fait preuve d'une solidarité sans faille. Ils ont néanmoins peu
d’opportunités de sortir de leur zone défensive. Sur leur seule incursion
favorable, Loïc s'occupe de plaquer l'attaquant adverse... sans intervention de
l'arbitre – OUF !
Face à l'inefficacité des deux
camps, on se dirige alors vers la séance de penalty. L'avantage est pour
Natixis qui tire en premier. La pression est donc sur les tireurs de Price.
Mais Doug, Loïc (avec de la réussite), Thomas et Alex ne tremblent pas et convertissent
leurs tirs au but. De son côté, faisant fi des statistiques, Jean-Mi plonge le
plus souvent à sa gauche, soit un tir décroisé pour un droitier. Et il a raison !
Il repousse une tentative et le 5e tireur des oranges n'attrape pas le cadre.
PwC se qualifie pour le tour suivant dans la douleur d'autant plus que les
Rojiblancos ont évolué en supériorité numérique pendant 90 minutes. Bien que l'essentiel
ait été acquis, il reste encore du taff pour Price pour asseoir sa domination.
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Avec de la réussite sur mon péno !!!! Mais il est fou notre rédacteur en chef...
RépondreSupprimerUn beau péno, c'est un péno au fond des filets : nos 4 pénos étaient beaux :-)
Loïc
On ne peut pas dire que ton péno était "beau" !!! sinon c'est que tu te contentes de peu ;-)
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