Tournoi Urban ESSEC: 14/03/2012

Résumé par Mister Carca !!!!

Dans le planning bien rempli des joueurs PwC, ce mardi 13 mars offrait une nouvelle mission de prestige pour la team PwC : le tournoi d'urban entreprises-étudiants organisé par l'Essec à Puteaux.

Le concept du soir : un ou deux étudiants de l'école dans chacune des 16 équipes d'entreprises invitées. Parmi ces dernières, que des beaux noms (Nestlé, Carrefour, Kurt Salmon, BCG, Unilever ...) et surtout beaucoup de cabinets d'audit (PwC mais aussi E&Y et Deloitte).

Après les présentations d'usage et les discussions de salon entre gentlemen permettant de faire découvrir notre firme et la richesse de nos métiers, la grande messe débute vers 21h avec le détail des compos.

La dream team sélectionnée pour l’occasion (Geoffroy, Cédric, Jean-Michel, Jérémy et Fabien) découvre et intègre un nouvel élément, son poulain, émérite étudiant à l'Essec, Nicolas ! Son premier contact avec notre effectif est à l'image de celui qu'il a avec le ballon, tout en fluidité. La confiance est donc à son maximum pour ces 3 matchs de poule de 12minutes, qui commencent par le "classico" contre l'une des 2 équipes de l'armada Deloitte venue en force pour l’occasion, dépêchant toute une délégation de joueurs et du supporters allant de l’associé à la secrétaire en passant par Miss Deloitte et tout le service communication de l’enseigne.

Ce premier match est acharné entre les deux rivaux fratricide de toujours, personne ne souhaitant laisser des plumes. La tension est grande, les espaces et les occasions sont donc limités. L'équipe prend ses marques et fait preuve de solidarité, l'ouverture du score est ratée de peu sur un tir puissant de Jérémy contré par le gardien adverse. Deloitte rend immédiatement la pareille, et il faut un grand Jean-Mich pour dévier un missile que beaucoup ont vu entrer dans les filets. Après visionnage de la vidéo et consultation des experts à l’extérieur du terrain, la gonfle ne s’est pas introduite dans les filets de Jean-Mich.

Cette première joute relevée se conclut donc par un nul. C'est ensuite E&Y qui se présente face à nous. Ce virage-là est mieux abordé. Dans un match bien maîtrisé, PwC parvient à ouvrir le score par Geoffroy sur une action d'école, et aggrave même la marque grâce à son nouvel attaquant Nicolas, avec un but qui vaut cher pour le goal-average. 2-0, le score est sans appel, et la dynamique semble enclenchée. Pour le dernier match face à Carrefour dans cette poule hyper-serrée, PwC assure la qualification en posant les barbelés et en arrachant un des ses 0-0 qui lui vont si bien, mais qui aurait pu basculer de notre côté suite au penalty raté de peu par PwC.

Au final, PwC se qualifie en deuxième position au goal-average à l’issu des matchs de poule, derrière Deloitte mais devant Carrefour, E&Y étant relégué. Mais cette place de deuxième risque d'offrir un adversaire redoutable pour le quart... et c'est l'inconnu Unilever qui se profile.

La team aborde cependant ce match couperet avec ses valeurs classiques, en feu follet plein de panache mais manquant de réalisme. C'est trop en offrir aux talents adverses, qui douchent très vite cet enthousiasme avec une action individuelle d'une de leurs stars qui ouvre froidement la marque. Sonné tel un Jean-Marc Mormeck on prend alors tous les risques pour rétablir la situation, mais c'est sans compter sur l'agressivité parfois à la limite des lessiviers d'en-face qui en profitent pour planter à nouveau deux fois. Loin d'abandonner, PwC parvient à sauver l'honneur en fin de match grâce à son jeunot Nicolas bien lancé sur le côté droit, il efface son vis-à-vis sur un magnifique contrôle orienté et déclenche une frappe imparable qui se loge dans le petit filet opposé. PwC sauve l’honneur grâce à son jeune poulain mais ressort au final de la machine plus blanc que son maillot. Les meringues se sont fait cuire, et cette élimination précoce déçoit les guerriers du jour.

Les comptes sont alors établis en bonne et due forme, et il ressort que votre scribe du jour a livré la moins bonne contribution selon une justice contestable, soit dit en passant, avec des statistiques plus limités encore qu'à Uefa fantasy car ne prenant en compte que les buts marqués ... toute l'équipe devrait donc jouer attaquant ? et que dire des penalty et autres occasions vendangées ? Mais il est vrai que la règle était connue de tous avant même la communication des compos. Au final tel un associé, il est condamné à signer le rapport général de cette fine aventure putéolienne offerte par l'excellente organisation du bureau des sports de l'Essec.

La conclusion en est qu'on pensait les briscards de PwC à l'aise pour les duels en soirée, mais il semble que cela soit plutôt valable pour les fiestas du week-end : après tout il faut bien choisir ses matchs ! Il semblerait néanmoins que certains joueurs ont continué leur soirée à transmettre l’organisation et les différentes opportunités offertes par notre firme avec quelques étudiant(e)s. Ces prolongations ont-elles portées leurs fruits ? Malheureusement le scribe du jour ne le sait pas. Dépité par cette élimination en ¼ de finale il a préféré parfaire sa technique Audit-Tique et revoir les vidéos du match pour à l’avenir émettre son rapport sans observation.