PwC défie Mazars pour
le compte de la 2ème journée de championnat, après un superbe nul 3-3 contre
Deloitte (champion en titre).
Étant donné le score du
match amical d'il y a quelques semaines - une sorte de gifle monumentale avec
des mains rugueuses façon maçon - dire que Price est loin d'être favori est un
euphémisme.
Les premiers conseils
sont donnés. Les premières craintes exprimées. Une source préférant rester
anonyme se remémore avoir pris le bouillon lors de la précédente
rencontre.
"Il faudra rien
lâcher les gars" assène Charles pour mobiliser les troupes. Thomas
s'occupe de préparer psychologiquement Youness pour ce qui peut vite devenir
une rencontre sado-maso. "L'aillier droit, tu me le bouffes Youn
!!!".
Aussitôt dit, aussitôt
fait. Premier ballon, Youness s'implique et s'applique, le ballon passe, pas le
joueur. Les hostilités sont lancées. Les tacles fusent comme les balles dans un
Tarantino.
Les joueurs de Mazars
ont beaucoup de qualités mais les Merengues tiennent le coup grâce à une
solidarité à toute épreuve. Ca défend fort, et en groupe ; le collectif
est de retour chez PwC, la Transformation est un projet firme, il se traduit aussi
sur le terrain !
Au cœur de la mi-temps,
Price domine même son adversaire avant de perdre un peu le fil du à quelques
fautes de concentration. Sur un service en or de Benjamin, hyperactif, Charles
s'offre une énorme occasion, mais son plat du pied puissant est repoussé par un
sauvetage aussi héroïque que miraculeux de l'arrière droit Mazarien.
Une fois n’est pas
coutume, Fabien s'égosille pour replacer son arrière gauche : "le 10,
tu le marques même dans les chiottes !!".
A la pause, le
capitaine peut être satisfait de l'engagement. Reste à concrétiser. Ce que
s'efforcent à faire les Merengues. Les milieux cavalent beaucoup et laissent
peu de place aux rouges.
PwC commence à se créer
de plus en plus d'occasions. Les débats se tendent encore plus, la tension est
à son maximum.
Alex profite d'une
bonne ouverture pour tromper le portier adverse d'une balle judicieusement
placée. Price a fait le plus dur en ouvrant la marque. Désormais, il faut
garder la Maison Blanche inviolée. Les Merengues redoublent de hargne et de
solidarité. Et de fautes aussi. Mais toujours dans l'esprit.
Il est à préciser que Charles
a noté dans son nouveau calepin d’entraînement un atelier « touche » vu
le nombre de remises en jeu foireuses effectuées...
Les joueurs de Mazars
s'énervent et veulent transformer la rencontre en free fight. Mais question
foot, hormis une belle reprise sortie par Jean-Mich, ils ont rien eu à se
mettre sous la dent.
PwC l'emporte donc par
la plus petite des marges. Mais quelle belle victoire. Beaucoup d'abnégation et
solidarité donnent le cocktail gagnant pour Price. Reste à confirmer cet
excellent état d'esprit pour espérer de grandes choses. (Rappel : plus
lourde défaite de l’histoire de PwC concédée contre cette même équipe quelques
semaines plus tôt sur un score fleuve et sans appel de 8-1 !).
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Youn, Charles, merci pour l'article !
RépondreSupprimerC'est beau !
RépondreSupprimerMerci à tous les deux pour cet article, c'est toujours très sympa à lire!
RépondreSupprimerSuper comme article ! On a été la chercher cette victoire !
RépondreSupprimerTrès bon article, merci beaucoup pour cette agréable lecture!
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