Quoiqu'il en soit avec
le retrait de Deloitte de notre championnat, ce match revêt une importance particulière
car il s'agit sans doute des deux meilleures équipes du plateau. Si PwC veut bien
figurer cette saison, faut pas se louper sur ce match.
Quelques absents de
marque mais PwC affiche un 11 compétitif avec Jean-Mi dans les buts. On
retrouve Arauld, Thomas, Loïc et Youness en défense. Au milieu se trouvent
Henri, Samir, Benjamin, Alexandre et Thomas. Enfin, Arnauld doit faire des
miracles seul en pointe.
On ne sait pas si c'est
parce qu'ils ont les chocottes mais le début de match des blancs est poussif.
Ils se font repousser par le pressing de Jaunes et ont toutes les peines à s'en
sortir.
Mais les choses
rentrent dans l'ordre après une dizaine de minutes. Thomas M. et Loïc
s'imposent régulièrement face aux avants adverses. Après dans la construction
c'est pas trop le Barça mais plus en mode portugais. C'est à dire de long
parpaings devant. A vrai dire, c'est pas bête. Certaines ouvertures créent un
peu de panique chez EY. Sur les autres, Price essaie de faire un bon pressing
et cela gêne les joueurs d'Ernst. D'ailleurs, ces derniers décident de
s'ajuster tactiquement en passant en 4-3-3.
L'effet n'est pas
immédiat car physiquement Price tient le coup et répond par un changement
d'hommes. Et là PwC trouve la solution. Toujours sur ces seconds ballons, Samir
en récupère un et lance très bien Arnaud. Notre attaquant du jour ne se fait
pas prier pour convertir l'offrande en but. La célébration du but est moins
exubérante que celle du passeur du jour visiblement heureux de faire fleurir sa
feuille de stats. Mais comme le dit Guy Roux "après un but, les 5 minutes
qui suivent sont cruciales". Et l'homme qui lança le bonnet comme
accessoire de style ne se trompe pas. Directement, les jaunards s'infiltrent
côté droit de la défense. S'en suit un cafouillage où l'on voit Jean-Mi sortir
une belle horizontale mais inutile car au final c'est bien un joueur d'EY qui
pousse la gonfle dans les cages.
Damn it !!! Tout est à
refaire. La fin de la période est plutôt à l'avantage de PwC sans pour autant
mettre en danger EY.
On prend les même et on
recommence en seconde période. Plus ou moins. Cette fois-ci, c'est plutôt les
Meringues qui tirent la langue car ils sont sous pression adverse. Price
invente aussi une nouvelle discipline : le air marquage. Sur 3 coups de
pied arrêtés, le numéro 7 se retrouve tout seul pour placer son coup de
caboche. 3 actions dangereuses dont une repoussée avec difficulté et chance par
Jean-Mi sur sa barre. Un petit bisou sur son montant et ça repart.
Le cuir est propriété
des Jaunes. PwC tente de se défendre essentiellement par le jeu long ou des
contres. Les blancs se procurent deux bonnes opportunités coup sur coup.
D'abord une frappe d'Arnaud qui frôle le poteau gauche puis Vadim qui sur une
frappe de loin oblige le portier a utilisé le bout de ses doigts pour éviter
une déconvenue à EY. Oui car en seconde période, c'est la maison blanche qui
tremble sur ses fondations. Mais le souffle du grand méchant loup n'est pas
assez puissant pour faire chuter l'arrière-garde merengue.
Les deux équipes se
séparent donc dos à dos sur le score de 1 partout. L'affaire n'est pas mauvaise
pour Price car l'équipe a plutôt été en souffrance notamment en seconde période
où EY a pris l'ascendant physique. Mais la saison est lancée. Et ça c'est la
meilleure nouvelle.
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