Ce samedi, les conditions
météorologiques ne sont pas optimales mais pas de quoi empêcher les deux
équipes de jouer au football. Enfin, au début, c'est quand même compliqué pour
Price qui a du mal à se dépatauger des conditions de jeu délicates. Et c'est
encore plus vrais pour les gardiens, surtout lorsque l'on n'a pas de
spécialiste au poste (Jean-Mi reviens, Jean-Mi reviens. Jean-Mi reviens parmi
les tiens !!).
Toujours
est-il que Charles est le premier à en subir les conséquences. Au quart d'heure
de jeu, il fait une cagade avec un « air-attrapé »
de balle sur un coup-franc adverse. A l’affût au second poteau, les joueurs des
Old Boys ne se font pas prier pour punir PwC, malgré une tentative de sauvetage
désespérée se soldant par un lamentable échec.
Ce but
reflète une période de net moins bien pour l'ensemble des Rojiblancos. La
gonfle a dû mal à ressortir. Comme un train SNCF, les joueurs de Price arrivent
toujours avec un temps de retard. C'est d'autant plus difficile de construire
avec ce terrain gras et tout sauf plat, même si on a connu pire... Après une
bonne vingtaine de minute, la team en rouge décide de rentrer dans son match.
Les premiers changements ont lieu. Les occasions commencent à s'enchaîner, sans
trop de réussite dans un premier temps. Les flaques devant la surface des Old
Boys n'aident pas la circulation de balle et viennent entraver de belles
situations... Malgré tout PwC peut régaler à l'image de cette action initiée
par Charles qui lance Alex dans la course. De la droite, ce dernier remet dans
l'axe pour le capitaine qui trouve Benjamin dans la surface. Mais le milieu
place une bonne frappe, mais... au milieu sur le gardien. On a aussi cette
frappe d'Arnaud lancé en profondeur qui vient lécher le poteau des Old Boys.
Le coup
de sifflet de la mi-temps est frustrant car après une entame de match poussive,
les Rojiblancos se sont rattrapés. Pour l'instant, c'est insuffisant et pire,
Price va se tirer une deuxième balle dans le pied à la fin du premier quart
d'heure du deuxième acte.
Alex
veut bien faire et relancer proprement sauf que sur ce terrain bien trempé la
passe n'est pas assez appuyée. Le numéro 22 intercepte et s'échappe côté gauche
avant de remettre pour son coéquipier seul au centre. 2-0 et 2 buts un peu
bêtes, il faut l'avouer. Il reste une petite demi-heure et Price est bien mal
embarqué. If
there's somethin' strange, In your neighborhood. Who you gonna call ? Charles Heinschild !
En bon
capitaine, Charles sonne la révolte à 20 minutes de la fin. Première énorme
occaz sur un beau mouvement collectif, il ignore les jérémiades du numéro 2 qui
hurle au hors-jeu, mais trouve le moyen de rater le cadre... Mais la 2e sera la
bonne. Après un relais avec Vadim à l'entrée de la surface, il décoche une frappe
sèche et (enfin) cadrée qui fait ficelle. C'est le but de l'espoir. Et il y a
des raisons d'y croire car en face ce n'est pas imperméable.
Dans ce
match, toute erreur est bonne à prendre et ça David l'a bien compris. Le
défenseur des Old Boys fait l'erreur de remettre une touche dans l'axe et là
qui surgit ? Non pas Zorro, mais Didier Drogba (la la la la la la) !
Interception de la tête, accélération pour larguer la défense, crochet histoire
de ne laisser aucune chance au gardien et enfin célébration de buteur, notre
ivoirien nous l'a fait comme les plus grands faroteurs d'Abidjan.
Il reste un petit quart d'heure et tandis que le match glisse vers une douce folie, il bascule également côté Rojiblancos et les bleus et blancs ne tardent pas s'effondrer. Sur un corner botté par Thomas, David place à nouveau sa tête mais cette fois-ci pour marquer directement avec celle-ci.
En prenant l'avantage au score, on pense que PwC a fait le plus dur mais que nenni ! La perte de balle de Vadim dans le camp adverse a de grosses conséquences. Les vieux garçons partent bille en tête en contre, et le numéro 22 reçoit la balle dans le dos de Fabrice et Youness. Il devance la sortie rapide d'Alex et marque dans le but vide.
Tout est à refaire. Mais là où d'autres se contenteraient d'un match nul, tel Van Gogh, Pwc ne l'entend pas de cette oreille. David continue de travailler sur son côté pour créer le coupé-décalage. Il trouve Arnaud qui frappe dans un angle fermé mais oblige le gardien à s'employer. Peu de temps après, toujours du côté droit, Thomas adresse une superbe galette à Vadim tout seul dans l'axe. Avec un sang-froid parfait, notre attaquant glisse le cuir au fond des filets. Une équipe avertie en vaut deux. Des lors, Price s'évertue à ne plus jouer au chaud et préserver ce résultat. La défense retrouve un peu plus de sérénité et Alex s'occupe d'éloigner toute frappe de loin.
Il reste un petit quart d'heure et tandis que le match glisse vers une douce folie, il bascule également côté Rojiblancos et les bleus et blancs ne tardent pas s'effondrer. Sur un corner botté par Thomas, David place à nouveau sa tête mais cette fois-ci pour marquer directement avec celle-ci.
En prenant l'avantage au score, on pense que PwC a fait le plus dur mais que nenni ! La perte de balle de Vadim dans le camp adverse a de grosses conséquences. Les vieux garçons partent bille en tête en contre, et le numéro 22 reçoit la balle dans le dos de Fabrice et Youness. Il devance la sortie rapide d'Alex et marque dans le but vide.
Tout est à refaire. Mais là où d'autres se contenteraient d'un match nul, tel Van Gogh, Pwc ne l'entend pas de cette oreille. David continue de travailler sur son côté pour créer le coupé-décalage. Il trouve Arnaud qui frappe dans un angle fermé mais oblige le gardien à s'employer. Peu de temps après, toujours du côté droit, Thomas adresse une superbe galette à Vadim tout seul dans l'axe. Avec un sang-froid parfait, notre attaquant glisse le cuir au fond des filets. Une équipe avertie en vaut deux. Des lors, Price s'évertue à ne plus jouer au chaud et préserver ce résultat. La défense retrouve un peu plus de sérénité et Alex s'occupe d'éloigner toute frappe de loin.
Victoire
dans la douleur pour les Rojiblancos mais victoire au mental. Contrairement à
la semaine dernière, le secteur défensif a été plus fébrile, même s'il n'y pas
eu de véritable mise à l'amende collective. Pour compenser, les attaquants se
sont mis au travail et ont réalisé une très belle seconde période. PwC continue
son sans-faute mais doit faire attention à ne pas se donner d'handicap.
A noter ce gros
mental qui permet, une nouvelle fois, de revenir dans le match. La base de tout !
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Daviiiiiid!
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