Geoff
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Arrold
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Loic
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Fabrice
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Youness
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Greg
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Matheus
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Benjamin
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David
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Ilias
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Alex
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Banc : Vadim, Junior
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Contrairement à la semaine dernière, les conditions de jeu frôlent l'optimum.
Terrain synthétique, pas trop froid mais très gros adverse en face. EY s'est du
très lourd.
Et cela se voit d'entrée. Face à une compo un peu expérimentale, les jaunes
d'EY enchaînent à base de popopopo mais surtout de remises simples et d'un jeu
à une ou deux touches de balles. A bout de 5 minutes, Arrold a déjà
l'impression d'avoir couru un quart d'heure. Dire que les Rojiblancos souffrent
serait un euphémisme ; ils ne voient tout simplement pas le jour. Les aventures
dans le camp adverse sont aussi rares que les apparitions de Dracula à la
lumière du soleil.
Malgré cette nette domination dans le jeu, l'ouverture du score vient sur
coup-franc. La frappe du joueur d'EY est déviée par le mur et prend une
trajectoire bombée qui finit en lucarne.
Ce n'est pas de but qui va arrêter la marche en avant d'EY qui écrase les Rojiblancos. Ça part dans tous les sens et les défenseurs ont du mal à contrôler les courses dans le dos. Le deuxième but vient de ce type d'action. L'ailier droit d'EY a tout le loisir de prendre un café avant de placer sa transversale pour son numéro 9. Malgré le retour de Loic et un cafouillage, il parvient à pousser le ballon dans les filets avec de la réussite. Au bout d'une vingtaine de minutes de jeu, le match est déjà plié.
Ce n'est pas de but qui va arrêter la marche en avant d'EY qui écrase les Rojiblancos. Ça part dans tous les sens et les défenseurs ont du mal à contrôler les courses dans le dos. Le deuxième but vient de ce type d'action. L'ailier droit d'EY a tout le loisir de prendre un café avant de placer sa transversale pour son numéro 9. Malgré le retour de Loic et un cafouillage, il parvient à pousser le ballon dans les filets avec de la réussite. Au bout d'une vingtaine de minutes de jeu, le match est déjà plié.
PwC finit finalement à se mettre quelque chose sous la dent en fin de
période. Sur un long ballon, David se bat comme un beau diable. Il réussit à
glisser la balle sur Ilias dont la frappe du gauche passe à gauche des cages.
Peu de temps après, c'est Alex qui reçoit la gonfle sur une perte de balle
stupide de l'arrière-garde jaune. Il décale Ilias qui enroule du droit mais au-dessus.
La fin de la première période permet à Price de sortir la tête de l'eau.
Mais à peine hein.
D'ailleurs, le constat est implacable. Les jaunards sont meilleurs sur TOUS les plans. Il faut faire de son mieux pour PwC. pour éviter la manita.
D'ailleurs, le constat est implacable. Les jaunards sont meilleurs sur TOUS les plans. Il faut faire de son mieux pour PwC. pour éviter la manita.
La seconde période ne change pas la donne. EY Impose son jeu et Price subit
autant que dans une soirée sado-maso. Pire, les joueurs tombent comme des
mouches. Après Arrold c'est Junior qui doit céder sa place. Mais c'est lorsque
l'on pense que PwC a touché le fond... qu'ils vont revenir dans ce match ! De
sa position de latéral droit, Benjamin adresse une belle ogive dans la
profondeur à Alex. Toujours en parfaite condition, notre grand échassier fait
parler ses cannes pour larguer la défense. Avec sang-froid, il élimine le
gardien et marque dans le but vide. Incroyable et limite miraculeux.
Malgré cette réduction au score, la révolte de Price est aussi virulente
qu'un chaton sous weed. Il y a pourtant la place de réagir car EY commence à
balbutier son football. Mais côté PwC, c'est pire. Les latéraux rivalisent en
relances ratées et pertes de balle et le milieu croule sous le poids du
pressing et de la technique adverse. Alors qu'on aurait pu penser à une
réaction d'orgueil voire un espoir de revenir au score, les Rojiblancos
semblent encore plus flanchés aussi bien physiquement que mentalement. En fin
de match, les marsupiaux bénéficient même d'un peno pour un accrochage de Ben.
Contre-pied sur le gardien et rideau sur ce score sans appel.
Au terme d'une performance bien moche, Price s'incline donc 3 buts à 1.
Pour faire court, il s’agit d'un beau match de m****. Tout est allé de travers
: des relances foireuses aux engueulades inutiles, en passant par une grosse
apathie (pas Jean-Michel mais générale). A la décharge des Rojiblancos, il faut
avouer que l'équipe en face était assez impressionnante. De plus, bons nombre
de joueurs n'ont pas joué à leurs postes de prédilection et cela était aussi
criant qu'un déguisement d'Halloween. Il faudra garder en mémoire cette
ensemble, que dis-je, ce magma de défaillances pour ne plus les reproduire en
match.
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pas un match marrant du tout !
RépondreSupprimerDans les milieux autorisés on appelle ça un équarissage
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