Voyons ce que nous a concocté
Doug :
Achille
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Ilias
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Fabien
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Loïc
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Clém M
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Youn
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Thom
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Jérém
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Geoff
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Will
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Gaby
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Doug
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Alex
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Au début du
match, les Rojiblancos sont dans la sauce comme dirait l'autre. La puissance
physique et la vitesse de jeu des joueurs noirs causent de telles difficultés
aux Rojiblancos qu'on aurait dit le trailer du second volet de 50 nuances de
Grey. Les latéraux ont beaucoup de mal à museler leurs vis-à-vis. Et à force de
subir, Price craque assez rapidement. Échappé côté droit, l'attaquant rate son
centre. Néanmoins celui-ci trouve l'espace laissé par Achille entre lui et son
poteau.
Même si PwC
est dominé, il est frustrant d'encaisser un but dans ces conditions. Et ce
n'est pas fini car les joueurs de Bourse tapent deux fois les montants après
des attaques rapides qui mettent à mal l'assise défensive des Rojiblancos. En
face, Price s'accroche et tente de combler l'écart ballon après ballon, duel
après duel. Fabien à la récupe s'aventure même aux avant-postes après un jolie
une – deux des familles. D'un joli fouetté de l'exter, il crée la panique dans
la surface adverse mais ni Will ni Alex ne peuvent convertir cette offrande.
Alors les
Rojiblancos se remettent aux phases arrêtées d'autant plus que le portier
adverse ne semble pas le plus serein. Sur un corner de Doug, Fabien s'élève
comme un oiseau et place un bon coup de casque rageur pour le but égalisateur.
Le match tend à s’équilibrer et Price a tout intérêt à profiter de ce moment.
Dans ces conditions, Will est souvent là pour dégainer. Il le fait à nouveau en
renard suite à un cafouillage de la défense de Bourse. Ce but n'est pas accordé
car l'arbitre a sifflé juste avant qu’il enclenche son missile terre-terre pour
sanctionner une main défensive. Choix quelque peu curieux mais qui ne
déstabilise pas Clément qui continue d'afficher des stats parfaites dans la
transformation des pénaltys, bim petit filet !
Pour autant,
PwC n'est pas à l'abri. Pour contrer les velléités adverses et assurer sa
défense les Rojiblancos doivent déployer autant d'énergie que François Fillon.
Pour l'un comme pour l'autre ce n'est pas suffisant. Celle de Price démontre
toute sa solidarité sur une frappe adverse à l'entrée de la surface. Cette
frappe cause une faute de main d'Achille qui relâche le ballon pour le numéro 9
qui, tout seul, peut catapulter la gonfle dans les filets. Les deux équipes
sont donc à égalité mais ce n'est pas cher payé pour Price qui a quand même
bien souffert dans le premier acte.
Cependant en
seconde mi-temps, le cave se rebiffe. PwC a bien décidé d'arrêter de se faire
marcher dessus et qu'eux aussi ils en ont de grosses (bourses). Symbole de ce
nouvel état d'esprit, Achille cherche à se rattraper après une première période
très difficile au poste de gardien de but. Lancé en profondeur, il sert sur un
plateau Tom en face à face avec le portier. En voulant assurer sa finition,
notre attaquant donne une balle plein centre que le portier peut facilement
détourner. Après avoir montré son talon, Achille souhaite désormais exposer son
talent. Il continue de dominer physiquement et outrageusement ses adversaires.
Il place également un coup de tête que le gardien a toutes les peines du monde
à écarter.
Se devant d’honorer
des obligations sans doute auprès de sa dulcinée, Loïc doit quitter ses
partenaires à l'heure de jeu. Les deux capitaines décident donc de jouer à 10
vs 10. Cette situation n'enraye pas la machine PwC. Après avoir tenu le choc en
première mi-temps, les Rojiblancos font plier leur adversaire du jour par leur
physique et leur intensité. Ils multiplient les situations chaudes devant les
bois de l'équipe en noir. Bien souvent, le danger vient des coups de pied
arrêtés car Fabien domine la surface comme LeBron James domine la raquette.
Doug est d'ailleurs à deux doigts de profiter d'une déviation mais il est
devancer d'extrême justesse. Peu de temps après, Thomas dépose un coup-franc sur
la tête de Fabien qui marque !... mais qui est signalé hors-jeu de manière
très douteuse ! Price tente de forcer la décision en se replaçant dans sa
moitié mais l'arbitre balance "Tu bluffes Martoni" et n'accorde pas
le but. Profitant des espaces qu'impliquent 2 joueurs de moins, Doug tente le
lob de loin pour surprendre le gardien. Belle idée mais non concluante.
Alors que la
fin du match arrive à grand pas, Clément se souvient du dernier film qu'il a vu
Inception (oui il n'est pas très à jour mais il faut l'excuser, il est breton).
Il tente alors d'insérer dans la tête de Doug la nécessité de faire rentrer
Gaby. Téléguidé par ce mentaliste hors-pair, Doug fait rentrer l'ailier de
poche. Quelques secondes plus tard, en bonne position Doug donne la balle en
profondeur pour (wait for it...) GABY !! Une finition pleine de sang-froid plus
tard, voilà PwC qui prend l'avantage dans les arrêts de jeu.
A la joie
succède, une concentration sans faille pour maintenir ce but d'avance.
PwC
l'emporte donc 3 buts à 2 au terme d'un GROS GROS match. En face, il y avait
une sacrée bonne équipe. Les Rojiblancos ont su faire preuve d'un gros mental
adossé à un très bon collectif et des cojones lourdes comme le compte de CR7.
Bien que l'expression soit quelque peu éculée, c'est bel et bien la victoire
d'un groupe !
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