PAM
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Ilias
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Thom
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Loïc
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Clém M
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Youn
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Alex
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Malcom
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Doug
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Clém H
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Ben
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Gaby
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Charles
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Achille
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Cette
fois-ci, les Rojiblancos sont prévenus : Bourse démarre aussi vite qu'un
puceau qui a les patates en-dessous du sac. Les Rojiblancos attaquent alors le
bout de gras d'entrée et ne laissent que des miettes aux joueurs en noir.
Intensité à la perte de la balle et calme dans la construction, tels sont les
maîtres mots de Price dans ce début de match. Celui-ci serait idoine si le taux
de conversion occasions/buts n'était pas aussi élevé que celui entre l'euro et
le dollar zimbabwéen. Les opportunités de faire les différences sont nettes et
nombreuses mais les Rojiblancos ratent plus de face à face qu'un collégien face
au proviseur. Et on sait très bien ce qu'il se passe dans ses cas.
Suite à une
mauvaise transmission de l'avant vers l'arrière, le numéro 11 récupère le cuir.
Après un enchaînement de technique et puissance, le gars se joue de la défense
pour aller tromper PAM. Il s'agit clairement d'un but contre le cours du jeu
néanmoins les joueurs de Bourse n'en n'ont cure. Cela les remet en selle et le
match s'équilibre. PwC reste capable de fulgurance. Flash Gaby slalome entre
les défenseurs et cale une frappe détourner par le gardien sur sa barre. Price
voit enfin ses efforts payés.
Après avoir
échoué dans la finition, Charles se mue en passeur. A l'entrée de la surface,
il décale Clément Hodeau qui reprend en une touche d'une subtile frappe en
rupture avec effet exter-inter. Celui-ci est estampillé effet
"Adidas" car Clément est en mode chard-clo avec des chaussures
dépareillées entre la marque à virgule et celle à 3 bandes. Après cet interlude
fashion week, Price reprend sa domination mais la mi-temps met en pause dans cette belle partition des
Rojiblancos.
Alors qu'on
attendait que l'équipe de PwC reprenne là où elle s'était arrêtée, nous la
retrouvons crispée. Le calme de la première période laisse place à de la
nervosité. D'autant qu'en face le défenseur central, numéro 13, fait un one man
show de mauvaise foi et contestation de l'autorité arbitrale. Malgré ses
tentatives d'intimidation, Loïc, l'arbitre, siffle un penalty légitime à la
suite d'un accrochage sur Charles.
M. 100% aka
Clément prend à nouveau ses responsabilités pour transformer ce penalty mais ne
sort pas grandi de sa réaction un peu puérile envers le numéro 7 :
"c'est celui qui dit qui est ! ". Ca ne s’invente pas ;-(
Ce dernier l'avait chahuté avant l'exécution du coup de pied de réparation.
Cette
seconde période est à l'image de ce but entre contestations, bouderies et
fautes : Loïc se croirait à la garderie. D'ailleurs, en termes de
chamailleries, les Rojiblancos atteignent le sommet entre Clément
"Valbuena" Mezange et Ilias "Ben Arfa" Gaillot. Le premier
veut commander sa défense à la stalinienne mais le second fait son rebelle
comme Lorenzo Lamas. Doug siffle la fin de la recrée car il faut tenir un résultat.
Parce que Bourse compte bien en profiter de ces mésententes. C'est là que la
solidarité de Price entre en jeu. Les Rojiblancos tiennent la baraque malgré
les coups de butoirs des joueurs de Bourse. Et quand la défense fait défaut,
Alex veille au grain. Il effectue un sauvetage de desperado sur sa ligne pour
préserver l'avance au tableau d'affichage.
Alors qu'on
se dirige vers la fin du match, Youness laisse échapper dans son dos le numéro
11, qui en une foulée le fait disparaître des radars. Clément est trop court
pour rattraper le coup, alors quand l'attaquant adverse ouvre son pied gauche,
les Rojiblancos s'attendent à la sanction sans appel. Mais non ! Le cuir frôle
le montant d'Alex sans franchir la ligne fatidique. L'arbitre siffle la fin de
la rencontre après cette ultime action.
Nous n'avons
pas eu droit à une REMONTADA de folie cette semaine mais il s'agit encore d'une
belle prestation de la part des Rojiblancos qui est concrétisée par 3 points
supplémentaires. Et mine de rien, cela fait une bonne petite série pour PwC !
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