jeudi 2 mars 2017

Championnat – BPCE vs PwC – 25.02.2017

Avant de se faire maudire en mondovision dans une sombre histoire d'enveloppes lors de la cérémonie des Oscars, la branche française de PwC a une équipe de foot qui a un match super important contre BPCE. Voici les 14 acteurs chargés d'assurer le spectacle ce samedi :






PAM













Ilias
Thom

Jérém

Doug

Youn

Achille








Hamza


Clém H

Geoff




Gaby





Youss














Hugo

















Charles







Même si le début de match est globalement dominé par BPCE, c'est Price qui a le meilleur départ en termes d'occasion de but. Le premier coup de semonce est tiré par Gaby. Sur son côté droit, il se joue de son défenseur et parvient à décocher une bonne frappe repoussée par le gardien. Le second coup fera mouche. Après une belle récupération de Clém au milieu et plusieurs passes lumineuse, Charles récupère la gonfle et trouve notre ailier sur un renversement de jeu. Gaby prend la poudre d'escampette et va battre le portier de près.

Ce but, collectif et rapide n'est vraiment pas à l'image du jeu de PwC qui est très laborieux. Les milieux Rojiblancos bataillent dur pour maintenir le navire à flot. Il faut reconnaître qu'en face, ce ne sont pas des peintres. Ils forcent d'ailleurs Price à commettre beaucoup de fautes. Malgré ces difficultés à faire le jeu, l'équipe de PwC se met au niveau de sa défense centrale pour tenir bon. Doug et Jeremy communiquent parfaitement pour donner le moins de travail possible à PAM. Vu qu'il n'est pas sollicité par des frappes adverses, Doug décide de faire joujou un peu avec lui. Genre, je te passe et tu me remets la balle malgré le pressing de BPCE, le tout à l’extrémité gauche de la surface ! Au final, PAM choisit le contrôle de la poitrine et la grande sacoche devant pour arrêter les sueurs froides des 9 autres joueurs. L'équilibre de PwC est de plus en plus précaire et la sortie de balle semble aussi difficile qu'une sortie en boite pour un jeune du 9-3.

La pause permet aux Rojiblancos de reprendre leur souffle et à Doug de faire des ajustements. Ces derniers permettent à Price de revenir sur le rectangle vert en meilleure posture et de rééquilibrer le match. Les flèches de PwC font du mal à l'arrière-garde des violets. La vitesse est un atout majeur pour les Rojiblancos. Doug l'a bien noté et joue rapidement un coup-franc défensif. Il trouve derrière la défense adverse PAM qui remet au centre d'une remise acrobatique. Jamais avare en gestes extravagants, Clément Hodeau reprend d'un aérien mawashi sauté pour transformer la remise en but. Malheureusement, l'arbitre de touche signale un hors-jeu encore plus douteux que le niveau de Patrice Evra. La colère des joueurs de PwC semble légitime mais cela n'influence pas la décision de l'arbitre central qui refuse le but.

Qu'importe, les Rojiblancos ont vraiment les moyens de mettre en difficulté la défense des violets à l'image de Gaby dont la vitesse fait des ravages.
Une nouvelle incursion de notre Speedy Gonzalez laisse la défense violette sur le carreau. Gaby remet alors au centre vers Hamza en mode passe aveugle comme au All-Star game. L'offrande est conclue par notre milieu. L'affaire s'annonce donc bien pour Price dans ce match mais rien n'indique qu'il est bouclé. Surtout quand les Rojiblancos décident de faire quelques expérimentations. Sur un coup franc plus qu’évitable sur une histoire de touche, PwC réinvente le air marquage. Ils sont 3 violets au second poteau pour conclure de près face à Hugo. 1-0 pour la science mais surtout plus que 2 buts à 1 pour Price. Il va falloir serrer les fesses. Malheureusement à ce petit jeu, Doug force un peu trop et sa cuisse le lâche ! La solidarité des Rojiblancos est alors mise à rude épreuve car les joueurs de BPCE accentuent la pression.
Pour autant, Price tient bon la barre et tient bon le vent, Hisser haut devant Hugo/
Si Dieu veut toujours droit devant, Nous gagnerons ce match avec brio.


Délaissons Hugues Aufray un moment pour nous intéresser à Hamza qui, depuis le début, semble gêner aux entournures, il n'a pas encore réalisé un match complet. Alors quand les Rojiblancos ont des difficultés à dégager un corner, il décide de montrer tous ses talents en faisant la plus belle imitation de Bruce Lee : il dégaine un chassé sur la poitrine d'un adversaire. L'arbitre indique logiquement le point de penalty. Le numéro 12 de la BPCE remet les deux équipes à égalité bien qu'Hugo ne soit pas loin de repousser la tentative. PwC a alors le cul entre deux chaises : faut-il se ruer vers l'attaque pour reprendre les 3 points qui tendaient les bras ou alors résister à BPCE revigoré pour préserver ce point ? L'arbitre décide rapidement de mettre fin au dilemme en sifflant la fin de la rencontre.

Ô Rage, ô désespoir. Ô match nul ennemi ! N'avons-nous donc tant donné que pour cette infamie ?
Concéder le nul alors que l'on mène par deux buts d'écart est toujours frustrant (euphémisme). Cependant, PwC a affronté une bonne équipe de BPCE qui n'a jamais lâché l'affaire et qui a quelque fois malmené les Rojiblancos. Ces matchs contre des concurrents directs, il faut surtout ne pas les perdre. Au moins, Price ne l'a pas fait.

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