Le bilan de cet ogre vert qui se
dresse devant PwC, c'est 18 matchs, 18 victoires (dont une 4 à 0 au match aller),
81 buts marqués et 9 encaissés...
Doug
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Aurélien
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Ilias
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Loïc
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Jérém
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Hugo
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Achille
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Geoff
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Paul
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Ben
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Youssef
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Charles
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Gaby
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Pour éviter
de prendre une manita, les Rojiblancos se doivent de faire un gros match et
cela pendant 90 minutes. Price s'attend donc à souffrir et a fait une
préparation mentale à la Van Damme dans Double Impact. On n’est alors pas
surpris que les dix premières minutes se déroulent dans le camp rojiblanco même
si les débats sont assez équilibrés.
Une fois
installés dans le match, PwC commence à pousser un peu plus ses actions. Les
joueurs de Price commencent à investir le camp de FIPS. Ces derniers ont dû mal
à tenir les Rojiblancos et Youssef obtient plus de coup-francs que Fillon n'a
de casseroles aux fesses. Même si les coups de pied arrêtés ne sont pas tous
bien exécutés, Price prend la confiance et monte en pression comme une bonne
triple karmeliet. Cela aboutit à une grosse domination pendant une dizaine de
minutes avec des mouvements offensifs aussi huilés que la dernière chorée de
Kamel Ouali. Au milieu, Geoff et Paul alternent pressing et temporisation.
Sinon, vous avez du Youssef qui a activé le mode Neymar et rend chèvre son
défenseur. Cela part notamment d'un décalage en talonnade de sa part pour
Charles. Notre numéro 7 prend son pied gauche d'ordinaire aussi utile que la
ceinture dans l'avion pour centrer vers Gaby qui reprend le cuir d'un exter du
pied instinctif. Le portier de FIPS lui répond par une parade réflexe,
néanmoins la gonfle revient vers Ben qui prend son temps pour ajuster une
reprise qui va heurter le poteau. Dès lors, les opportunités de Price
s’enchaînent. Autre joueur en mode Super Saïen c'est Gaby. La première fois, il
échappe à son garde du corps mais perd son face à face. Aussi virevoltant qu'un
retournement de veste de Valls, il reste intenable pour ses opposants.
Malheureusement Geoff, trop court ou Youss d'une reprise trop enlevée ne
peuvent concrétiser. Cependant, le premier cité se montre de plus en plus
entreprenant, à la suite d'une récupération haute, Geoff adresse un long centre
que le gardien a dû mal à négocier. Il est tellement en difficulté qu'il finit
par se mettre la gonfle dans ses propres filets !?!
Ce but vient
de récompenser le moment fort de PwC. Néanmoins la bête FIPS n'est pas morte.
Bien au contraire, elle connait bien la loi du Talion et souhaite rendre le
coup immédiatement. Ce qui donne 5 dernières minutes difficiles pour PwC. Jusque-là
impériale, la défense centrale montre quelque signe de fébrilité. Loïc est à
deux doigts de faire une petite boulette avec un accrochage à l'entrée de la
surface. Pas vu, pas pris. Puis Jeremy se croit dans son jardin avec son gosse
et donne une balle en retrait aussi molle que le mental d'un joueur du PSG.
Heureusement, il suit l'action et se rattrape avec un tacle de desperado juste
avant que l'attaquant adverse ne pousse la balle dans les filets.
Néanmoins la
défense est bien présente, rien ne passe ! En phase défensive, Hugo écœure
littéralement ses adverses, c’est propre, c’est solide !
Voyant son
équipe peinée un peu en fin de mi-temps, Doug axe son discours sur la
récupération. A juste titre, les joueurs de FIPS rentrent en seconde période
avec la même dalle qu'un geek a une soirée Victoria Secret. Le jeu des verts se
veut donc plus direct et plus pressant. La défense va avoir un rôle crucial
dans cette seconde période. Dans l'idéal, il faudrait pouvoir ressortir le
ballon proprement pour la souffler. Toutefois, les Rojiblancos ont pris
l'option rugby : dès qu'on a le ballon, on dégage en touche le plus loin
possible.
La gonfle
revient donc vite dans les pieds des joueurs de FIPS. Malgré leur domination
territoriale, ils ont bien des difficultés à déstabiliser l'arrière-garde de
Price. Alors, les verts s'en remettent aux coups de pied arrêtés. Ceux bottés
au second poteau causent bien des tracas aux défenseurs de Price surtout quand
l'attaquant attrape la balle pour la remettre au centre. Heureusement, Doug
veille au grain. Le cafouillage qui s'en suit bénéficie à la défense qui peut
se dégager. Moins serein dans le jeu, Price tente de réagir par des coups de
boutoirs. Youss nous gratifie d'une récupération du ballon à la Ngolo Kanté. Il
résiste à son défenseur tel Aguero mais finit comme Cavani par un face à face
perdu. A l'image de cette action, toute l'équipe se met le cul par terre.
Toutefois, c'est du haut niveau en face et les Rojilblancos tombent au combat
les uns après les autres comme les héros de Games of Thrones. Loïc finit même
la rencontre ... milieu droit ! On ne vous raconte même pas l'enfer qu'il
a fait vivre à son vis-à-vis par son joga bonito.
Au fur et à
mesure qu'avance ce match, un bruit de claquement revient de plus en plus
fréquemment et bruyamment. Est-ce les applaudissements de la foule attirée par
l'affiche ? Non, il s'agit des genoux des Rojiblancos qui claquent face la
pression grandissante mise par FIPS. Cette peur va se transformer en flip total à quelques encablures de la fin. FIPS tente
de déborder PwC par les côtés. Le départ de l'action est entaché d'un hors-jeu
non sifflé par l'arbitre central. L'action continue mais Ilias décide de
déclencher une grève unilatérale et sans préavis du marquage de son joueur.
Celui-ci se retrouve alors totalement seul pour reprendre la gonfle. Mais il
expédie le cuir sur la barre. Il faut redoubler de vigilance afin de ne pas
mettre en péril le travail effectué. Geoff, lui, est en train de cramer son 13e
poumon. Le reste de l'équipe est au diapason à la suite d'arrêts de jeu
interminables, l'arbitre décide de valider la victoire de PwC.
Il est là le
match Lebron Jamesque de PwC !! Les Rojiblancos l'emporte par la plus petite
des marges mais quel match, quelle intensité, quelle solidarité !!! Du bord du
terrain, une telle partition collective donnerait presqu'envie de chialer comme
William Sheller tellement c'était beau. On a hâte de voir le prochain match de
PwC.
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Merci Youn ! Excellent résumé et belle victoire collective !
RépondreSupprimerBRAVO à tous
Loic et la Joga Bonito... excellent !
RépondreSupprimerNeymar est apparu très jeune à Santos, où il a fait ses débuts professionnels à l'âge de 17 ans.
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