Voici les 14 opérateurs pour
cette mission :
Abdellah
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Alex
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Ilias
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Loïc
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Clém M
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Youn
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Marzouck
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Will
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Doug
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Hugo
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Thom
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Gaby
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Ben
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Charles
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Comme
(malheureusement) un peu trop souvent, les premières minutes du match sont
dominées par les adversaires de Price. Non mais allô quoi ? Tu vises la
montée et tu ne réussis pas à imposer ton jeu à l'antépénultième...
Heureusement,
les Rojiblancos rangent rapidement Nabila sur l'étagère des montgolfières
parlantes et mettent de l'agressivité sur le terrain. Le ton est donné par les
milieux de terrain qui récupèrent le ballon aussi rapidement qu'un politique une
polémique. Dans son style, Hugo jaillit du milieu comme Black M à Verdun. Il
parvient à lancer Gaby en profondeur dont la vitesse n'est plus une découverte
pour les Rojiblancos mais pas pour son vis-à-vis du jour. Comme notre ailier
est un gars bien, il offre le premier but à Charles seul devant les cages
vides.
Le plus dur
est fait pour Price qui va désormais s'appliquer à dérouler son jeu afin de
creuser l'écart. Les Rojiblancos parviennent de plus en plus à toucher Charles
au cœur de la défense adverse. Avec la vision d'un numéro 10, le numéro 7
trouve Ben dans le dos de la défense. Comment va-t-il conclure ? Dribler le
gardien ? Frapper comme une mule ? Non Môssieur est un esthète, il choisit la
petite pichenette. Pour les Bleus, c'est le nouvel an chinois. Ils commencent à
exploser de toute part sous les coups de pétard de Price. Chaque ballon joué
dans le dos de la défense fait revivre le même cauchemar que Thiago Silva au
Camp Nou. Quand ils ne jouent pas la profondeur, les Rojiblancos construisent
de chouettes actions. De son camp, Doug échappe au pressing adverse et décale
Thomas sur le côté. Une touche de balle plus tard, Charles se retrouve en face
à face avec le portier abandonné par sa défense. Pas de pitié pour les
croissants, l'attaquant donne encore plus d'avance à PwC.
Pétard,
c'est moi ou Charles est chaud comme Poutou lors du débat présidentiel. Il est
en train de dézinguer la défense des Bleus. Et il est bien accompagné. Sur son
côté, Gaby transforme son couloir en long chemin de croix pour son défenseur. A
l'aise, il repique vers l'axe, cale un une-deux avec Doug puis remet vers
Thomas qui allume en première intention pour le 4e but. Popopopo !!! PwC style
! Que les Bleus foutent leur gilet, à base de joga bonito/ L'AS P.w.C. c'est de
la bombe baby !!
Groggy, les
joueurs d'Allo Transports ne réagissent pas ou très peu même quand Loïc nous
réalise des "air-relances". Il y a toujours le Djibril Cissé local
qui est menaçant, mais il est bien tenu par Ilias... et son absence de jeu
collectif.
Le score
étant acquis Doug remanie totalement l'équipe à la pause. Lui-même en profite
pour s'échapper faire le kéké à Deauville, comme bon tout parisien du 17e dès
qu'il y a un rayon de soleil.
Revenons au
match. Enfin de ce qu'il en reste. Autant la première période était joga
bonito, autant la seconde est plus : je-vais vomito ! Ok,
l'affirmation est (très) sévère, toujours est-il que les Rojiblancos ont autant
de mal avec la gonfle que Rolando sous weed. Les déplacements et la
disponibilité de la première mi-temps ont laissé place à une certaine
fainéantise que l'avance à la table de marque peut justifier. Alors, on va
faire court car le second acte est aussi animé et passionnant qu'un film
d'auteur moldave. Les joueurs d'Allo Transports se procurent une dernière
occasion dans les arrêts de jeu avec l'attaquant qui se retrouve aussi seul
dans la surface qu'un smicard dans le 16e. Heureusement, sa frappe est aussi
pétée que la voix de Jul sous vocodeur. PwC n'encaissera pas de but
aujourd'hui.
En somme,
Price l'emporte largement sur le score de 4 buts à rien. La différence s'est
faite en première période dans laquelle on a clairement vu l'écart entre les
deux équipes. Dommage que les Rojiblancos n'ont pas joué la seconde période
avec autant d'application afin que tout le monde puisse prendre du plaisir.
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