Voici les 14 cuistots du week-end :
Ilias
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Doug
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Thom
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Loïc
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Clém M
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Youn
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Marzouck
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Hamza
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Jeremy
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Hugo
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Alex
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Youss
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Charles
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Alfouss
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Le début de
match est conforme à nos attentes. Sur le rectangle vert, on n'est pas là pour
se faire des bisous. Le match est immédiatement intense et disputé. Sodexho est
autant déterminé que Price pour ce match couperet. Dans ces cas, la technique
est un élément capital. Heureusement, les Rojiblancos ont quelques atouts dans
leurs manches. Sur son côté, Youss se prend pour David Copperfield. Devant le
défenseur il joue à "là tu me vois" et hop passement de jambes
"là tu me vois plus". Lucide, il s'applique pour faire un centre pour
Alfousseyni Jordan qui réaliser un dunk de la tête. Boomshakala !! 1-0 pour
Price. Tout s'enclenche bien pour Price qui continue sur sa lancée. Les
attaquants se trouvent de mieux en mieux au sein de l'arrière-garde des Bleus à
l'image du deuxième but. Doug joue le une-deux avec Youss et enchaîne par une
bonne frappe qui met autant en stress le gardien qu'un cancre devant passer le
BAC. Peu à son aise, il ne peut repousser la gonfle que dans les pieds de
Charles qui suit avec succès. Propre et efficace, le président est un peu
l'Ajax sans traces des Rojiblancos. Malgré les apparences, il ne s'agit pas
d'une vulgaire balade matinale pour Price. Non, pour contrer Sodexho, les
Rojiblancos doivent mettre le bleu de chauffe. Les 11 joueurs travaillent de
concert pour éviter les actions dangereuses dans la surface.
PwC atteint
la pause avec un avantage confortable mais insuffisant pour aborder la seconde
période en chemise hawaïenne.
Vous savez
ce qu'on dit : dans cette situation, le 3e but est crucial. Les
Rojiblancos vont mettre à profit cet adage dès le début de la seconde période.
Toujours aussi virevoltant, Youss obtient un coup franc plutôt placé à la
Maceon, i.e. centre-gauche. Charles et Clément se présentent pour botter le
coup de pied de réparation. Droitier et donc mieux indiquer à frapper celui-là,
le président prend ses responsabilités. Il le fait comme le célèbre joueur
arménien, à bon escient, car il va déloger Spiderman de sa lucarne. Cette
réalisation est aussi belle qu'un but de Zapata à la 97e minute lors du Derby
della Madonnina. Avant cette désillusion à l'heure de la sieste, notre
interiste préféré va en subir une autre durant cette fraîche matinée. Quelques
minutes après son entrée, Hamza se signale de manière fracassante. Lancé sur le
côté droit, il déclenche la foudre en demi-volée. Malheureusement, la superbe
intuition de notre ailier trouve la barre puis le poteau mais pas le fond des
filets. Le match est toujours aussi disputé. Les Rojiblancos font honneur à
Claudio "El Piojo" Lopez en s'accrochant comme des poux aux basques
de leurs adversaires.
Pour autant,
il est difficile pour la défense de sortir indemne de cette opposition. En
effet, Sodexho réduit la marque suite à un cafouillage consécutif à un bon
centre. A l'affût au second poteau, l'attaquant permet aux Bleus d'espérer
revenir dans ce match.
Les
prochaines minutes sont alors déterminantes. Après avoir créé une telle avance
en montée, il ne faut pas laisser le peloton revenir dans la descente. En
parlant de vélo, le look du gardien nous rappelle furieusement Marco Pantani
dit le Pirate. Bon, il semble aussi bien gérer ses mains que l'italien ne
gérait les contre la montre comme en atteste le 4e but. Pour Price, cela combine
côté droit avant que Youss ne remette à Charles à l'entrée de la surface. Le
président déclenche une frappe placée mais aussi violente qu'Iniesta en combat
de MMA. Pour autant, le brave Marco la laisse passer. La bonne âme. Ce but
soulage complètement PwC comme du jus de pruneau après une constipation.
Derrière, le back-four ferme la boutique, Sodexho ne reviendra plus.
PwC
l'emporte donc 4 buts à 1 contre une valeureuse équipe de Sodexho. Le score est
assez flatteur pour Price et ne reflète pas réellement le niveau de
l'opposition. Les Rojiblancos ont su se montrer réalistes profitant de la
faiblesse du portier adverse. Surtout, il nous faut une nouvelle fois souligner
la solidité et la cohésion de l'équipe de PwC.
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