Voici les 14 bannerets de la
Maison Rojiblanca :
Alex
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You
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Ilias
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Jérém
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Clém M
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Hugo
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Geoff
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Will
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Doug
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Paul
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Moh
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Youss
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Peter
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Charles
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La rosée du
matin rend le terrain glissant et transforme nos 22 gaillards en Surya Bonali
en crampons. Nous assistons donc en ce début de match à quelques glissades qui
font paraître le match pour un ballet quelque peu désorganisé. Cela n'est pas
suffisant pour altérer la concentration des joueurs de Price qui est
inversement aussi élevée qu'est faible le QI foot de Ben Arfa. Et il le faut
car en face ce n'est certes pas les Monstars
de Space Jam mais on est quand même en présence de beaux bébés dont
beaucoup ne rougiraient (presque) pas face à Sébastien Chabal.
Pour autant,
PwC tient le choc même si les Rojiblancos éprouvent quelques difficultés à
poser le jeu. Avec un terrain qui fuse et une équipe adverse qui met énormément
d'impact, penser que ce serait une passe à 10 est aussi illusoire qu'un
Champions Project avec Evra latéral gauche. Alors les joueurs de Price
s'efforcent de bien défendre et ils réussissent parfaitement cela. Malgré un
bon rythme et une qualité de jeu pas dégueulasse, les deux équipes se
neutralisent et les défenses prennent le pas sur les attaques. Le travail des
gardiens est assez limité dans cette première période. Celle-ci n'est toutefois
pas frustrante car elle a permis aux Rojiblancos de prendre le pouls de la
Première Série et de leurs adversaires.
En attaque,
PwC commence même à sérieusement montrer le bout de son nez en attaque. Ce
n'est pas encore celui de Cléopâtre mais cela indique bien la tendance. Alex se
procure une double occasion même si sa première frappe est repoussée par le
portier et sa tentative de reprise de la tête est hors cadre. De son côté, la
défense de Price n'est pas mise hors de position. Le principal danger vient du
jeu direct ce qui oblige les défenseurs Rojiblancos à être autant en alerte que
les Caraïbes durant l'été. Le moindre petit écart peut vite se transformer en
situation délicate. Et c'est le cas dans cette seconde période où, à la suite
d'un long renvoi, Jeremy est mis en difficulté par le pressing du numéro 9. Ce
dernier récupère le cuir, résiste avec réussite au retour de de notre défenseur
et, en se retournant, sans regarder les cages, il tente une frappe Ave Maria.
Malheureusement pour Price, les dieux sont avec lui. La gonfle heurte le poteau
avant de se lover dans les filets. Le coup est rude pour Price qui commençait
prendre le dessus sur son adversaire.
Il faut
repartir au charbon en espérant ne pas se prendre un autre coup de grisou. Un
coup franc à la limite de la surface est bien botté mais le crâne d'un
défenseur dégage sur sa ligne... Alors Price continue de pousser son wagonnet
en espérant l'erreur. Et cela paie. Le corner venant de la gauche est très bien
botté par Charles et il permet à Alex d'ajuster une belle tête avec rebond qui
prend à défaut le gardien et toute sa défense. Toute? Non, car dans un geste
désespéré le libéro adverse nous tente une Suarez, le gourgandin !! Mais cela
n'échappe pas à l'arbitre qui sanctionne le geste d'un coup de pied de
réparation et adresse un carton rouge à notre volleyeur amateur. Évidemment
pour la transformation, on compte sur notre breton préféré : Clément aka le
Mendieta de Lorient permet à PwC de recoller au score. Avec la dynamique du but
égalisateur, le temps qu'il reste à jouer et la supériorité numérique, on se
dit alors que c'est du tout cuit pour PwC. Pas trop vite desperado ! En face ce
n'est pas le FC jaideuxpiedsgauches et ils ont bien compris que leur salut
passera par le jeu direct. Heureusement pour eux, sur une nouvelle balle en profondeur
Paul et Jeremy s'entendent aussi bien que Kim Jung Un et Donald Trump.
L'attaquant adverse en profite et devance la sortie de notre portier. Ce but
fait aussi mal qu'un amorti avec les bijoux de famille.
De surcroît,
il coupe totalement l'élan de Price perd toute notion de sens collectif. Cela
joue soit trop vite soit trop long (ou les deux). La frustration s'empare des
esprits Rojiblancos malgré la supériorité numérique, PwC reste aussi impuissant
face aux cages qu'un eunuque. Les Rojiblancos ne reviendront pas.
Comme dirait
Booba pas le temps, pour les regrets... Mais quand même, certains s'en
faisaient toute une montagne mais le terrain a prouvé que PwC peut regarder
dans les yeux les équipes de Série 1. Alors ce samedi, il y a eu défaite, soit.
Mais en continuant ainsi et en corrigeant les deux ou trois petites erreurs, il
est sûr que les Rojiblancos arriveront à un résultat positif.
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