vendredi 8 décembre 2017

Championnat – FIPS vs PwC – 2.12.2017

Cette fois-ci, l'hiver est bien là. Ce premier samedi de décembre, il fait un froid à en décapiter un Stark. Pour autant, 26 hommes valeureux décident de braver ce froid dont 13 veulent porter haut les couleurs de PwC face à FIPS :





Quentin













Marzouk
Ilias

Clém M

Jérém

Youn

Will











Clem H

Doug




Gaby





Hugo





Ben

















Achille















Cet adversaire est bien connu des Rojiblancos. Alors PwC entame les hostilités en étant concentré comme les sardines de Patrick Sébastien. Ce sont d'ailleurs les pensionnaires de Cristal Park qui se créent la première occasion. Hugo trouve Achille lancé comme une roquette nord-coréenne. Malheureusement, la finition n'est pas à la hauteur de la menace et la tentative n'attrape pas le cadre. Les deux équipes se neutralisent mais on assiste à un bon match engagé. Nous n’avons pas droit à des envolées techniques mais à une bonne grosse baston de milieu de terrain. Dans ces conditions, la différence se fait souvent dans les détails. Le dégagement de Quentin atterrit dans les pieds d'un défenseur vert qui renvoie à la va comme je te pousse... Pourtant ça finit en ouverture parfaite pour l'avant-centre. Celui-ci porte le numéro 14 et a un surnom aussi terrifiant qu'un programme sur Gulli : Baba. Pour autant son efficacité est létale et il profite de son avance pour devancer notre portier. On voit que ce Baba-là n'est pas là pour enfiler des perles ou foutre des nouilles dans le caleçon de son voisin. Cette ouverture du score est aussi douloureuse au moral des Rojiblancos qu'un message de Jul sur Twitter l'est à la grammaire. À l'instar d’une bulle de champagne, PwC tente de remonter à la surface et continue à montrer beaucoup d'application notamment en défense. Cependant, ces efforts ne se concrétisent pas en actions de but, non pas de la faute d’une attaque déficiente mais bien à celle de la défense de FIPS qui se montre aussi indomptable que Mélenchon sur un plateau de TV.

PwC atteint donc la mi-temps avec un déficit d’un but. Malgré le froid toujours aussi glaçant, il faut repartir au combat. Alors les Rojiblancos repartent de l’avant. La seconde période tourne plutôt à l’avantage des Rojiblancos. Ils ont la maîtrise du jeu et réussissent à bien faire circuler la gonfle. Pour autant, les occasions se font aussi rares que les bonnes meufs dans une boîte de province. Et même quand PwC repère enfin une opportunité, il l’approche comme un goujat. Sur une belle ouverture de Clément M., Marzouk fait fit de son physique de déménageur béninois et adopte, comme son équipe nationale, l'attitude de l'écureuil. Il n'attaque pas le ballon permettant au gardien adverse de s'en saisir. C'est dommage car c'était une très belle opportunité d'égaliser. Dans ce genre de match, il vaut mieux ne louper aucune occasion de marquer. Et Price va encore payer le prix cher pour apprendre. Sur un long dégagement inoffensif au premier abord, Youness fait sa meilleure interprétation de Carla Bruni pour prévenir Mézange du danger. Du coup, notre petit oiseau se croit aussi à l'aise que sur une plage ensoleillée de Bretagne (oxymore). L'attaquant de FIPS lui chipe donc la gonfle et d'un coup de patte la glisse au-dessus de Quentin. À 0-2, refaire son retard paraît alors bien compromis pour Price surtout l'homme en noir continue son processus de déstructuration. Déjà que la première mi-temps était entrecoupée de coups de sifflet intempestifs, l'arbitre décide de nous faire un festival en seconde période. C'est simple, l'arbitre a tellement utilisé son instrument strident qu'on aurait dit que Kim Kardashian se baladait en string dans les couloirs de la prison de Fleury. A l'image de la faute qu'il siffle sur Doug coupable d'avoir sauvagement agressé le pied de son adversaire avec une tête trop haute, le sacripant !! Price continue de mettre la pression sur la défense de FIPS. Les Rojiblancos se créent même quelques situations intéressantes mais les verts réussissent à tenir l’objectif de maintenir leur cage inviolée.

PwC a livré un bon match mais ce ne fut pas suffisant, la faute à une inefficacité chronique dans les deux zones de vérité. La mauvaise série se poursuit donc pour les Rojiblancos et ça commence à devenir problématique. Il faut se remobiliser afin de pouvoir réaliser 90 minutes (et plus) parfaites et renouer avec le savoureux goût de la victoire.

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