Alex
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Hamza
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Kev’
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Loïc
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Clém M
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Youn
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Will
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Tom
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Doug
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Gaby
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Hugo
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Charles
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Achille
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La
première rencontre face à Métro avait déjà été frustrante car Price s'était
incliné au terme d'un match raté. On attend donc une réaction d'orgueil de la
part des Rojiblancos. Que nenni. Le début de match de PwC est aussi réussi que
sont accueillantes les portes d'un pénitencier. Dès les premières minutes de
jeu, les Rojiblancos se font balader. L'ouverture du score n'est alors qu'une
conséquence logique à cette entame ratée même si elle intervient à la suite
d'un coup franc dévié par Loïc dans ses propres filets.
Pour
réaliser une entame de match aussi catastrophique, on sent que la mort de
Johnny a sérieusement affecté les Rojiblancos. Toutefois, après ces débuts
cata, PwC est bien décidé à ne pas mourir dans ce match enchaîné à la défaite.
Et cela paie rapidement. Après un bon travail d'Achille, Doug égalise d'une
frappe de loin déviée. Pour autant, les Rojiblancos n'auront pas le temps
d'allumer le feu qu'ils se font rapidement doucher à nouveau. Entre le centre
et la présence (ou plutôt absence) à la réception, la défense laisse beaucoup
d'espace et le numéro 8 peut marquer seul au second poteau. Price repart dans
le rouge. Celui-ci vire même au rouge sang pour cent de réussite quand le
numéro 8 marque le 3e but à la suite d'un contre favorable. En cette fin de
période, PwC en prend plein la tronche, à se demander qu'est-ce qu'elle a sa
gueule pour en encaisser autant.
A 3-1,
à la pause, la qualification semble bien compromise. D'autant plus que l'état
d'esprit affiché par les Rojiblancos nous amène à penser que la seconde période
ressemblera fortement à un long requiem pour un fou. Surtout quand Clément
rappelle qu'il a quelque chose en lui de Traoré Sammy. Sa remise en retrait est
trop courte pour Will qui se fait devancer par l'attaquant adverse qui pousse
le ballon au-delà de la ligne de but. On a beau essayer de vivre pour le
meilleur, il arrive parfois que l'on assiste au pire. Celui-ci est atteint
quand Métro marque le 5e but. Le numéro 8 (toujours) envoie un cachou dans la
lucarne de Will totalement impuissant sur le coup. Noir c'est noir. A 5-1, il
n'y a pas plus d'espoir. Cependant, c'est précisément à ce moment que Price
retrouve l'envie. L'envie d'avoir envie de gagner ou du moins de montrer un peu
d'orgueil. Les Rojiblancos retrouvent de l'agressivité et deviennent, dans les
duels, aussi badass qu'un rockeur en Harley. Et devinez quoi ça paie ! Sur une
action bien construite, Alex trouve Achille dans la profondeur qui arrache les
filets. Il reste encore pas mal de temps donc Price doit emballer la rencontre
comme le faisait l'idole des jeunes auprès des jeunes demoiselles. Malheureusement,
l'homme en noir met un stop au projet des Rojiblancos. Oh arbitre, si tu
savais, tout le mal que tu nous fais. A force de siffler sur chaque action que
l'on fait. Au fil des minutes, Metro tire de plus en plus la langue et Price
multiple les tentatives au but mais peu sont cadrées. Il y a bien eu réaction
mais elle est arrivée bien trop tard pour des Rojiblancos qui n'avaient pas
tous des cheveux longs mais bien les idées courtes.
PwC
s'incline donc lourdement 5 buts à 2. Cela commence à faire beaucoup de
défaites à la suite. Ce coup-ci, les Rojiblancos ne se sont clairement pas
montrer au niveau. Il ne s'agit pas de pointer untel ou un autre car le problème
est vraiment collectif. La réponse doit l'être tout autant. Il s'agit désormais,
à l'inverse de Johnny, de crier à la défaite "Que je te hais ! Que je te
hais !"
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