Cependant, Metro ne veut pas se laisser faire et met le pied, le coude ou quelque autre partie du corps pour gêner PwC. Tout cela est autorisé par un arbitre très permissif pour ne pas dire dépassé par certains moments. Le jeu est aussi haché qu'un match de football américain. De plus, l'agressivité des uns cause de la frustration chez les autres. Il y a beaucoup de pinaillages et remises en cause des décisions arbitrales. Tout cela est en la défaveur à PwC qui perd peu à peu son avantage acquis dans le jeu. Les Rojiblancos ne proposent plus grand chose de fooballistiquement intéressant lors de la seconde partie du premier acte. En revanche la défense tient bien le coup à tel point que Quentin a le temps d'actualiser sa situation sur pôle emploi.
A la
mi-temps, PwC a le match bien en main et peu de choses semblent pouvoir
déstabiliser les Rojiblancos. Sauf peut-être l'imprévisible.
Dès le
début de la seconde période, on assiste à LA scène WTF : le match est
arrêté à cause d'une embrouille... Entre coéquipiers ! Apparemment le numéro 8
en a marre que son acolyte dise pis que prendre de lui et cela lui est monté
dans le carafon. Ce pétage de plomb rallume la lumière à tous les étages du
collectif de Métro tandis que les Rojiblancos plongent complètement à croire
qu'ils ont manigancé tout cela. Il y a d'abord le but égalisateur qui part
d'une longue balle sur laquelle aucun joueur de PwC ne gagne son duel à
l'exception de Quentin qui remporte son face à face. Toutefois, la gonfle
revient sur un joueur de Métro qui peut pousser dans les cages vides. Les
choses se corsent quand Métro marque le deuxième but. Les rouges ne
s'embarrassent pas à pratiquer un tiki taka. Non là il s'agit d'un long centre
repris par la fameuse forte alarme le numéro 8 en devançant Hugo. On pense que
cela est fini mais non. Dans le style je me saborde tout seul, PwC a décidé de
pousser le délire jusqu'au bout. Lancé comme une balle, le latéral de Métro
gagne son duel face à Youness et centre au second poteau où le Michael Jordan
du jour claque un nouveau dunk de la tête.
Dans un
laps de temps assez réduit, Price a pris trois bastos dans le poitrail. Le
match des Rojiblancos ressemblent de plus en plus au Titanic mais sans Leonardo
Di Caprio et Céline Dion. Doug multiplie les ajustements technico-tactiques
mais il ne réussit pas à réveiller l'équipe de PwC qui ressemble à un figurant
zombie dans the Walking Dead. Pas ou peu de réactions donc, ce qui donne une
fin de match sans saveur.
PwC subit
un sérieux revers fort fâcheux. En effet, sans manquer de respect à l’adversaire,
à part une grosse agressivité, ils n'avaient pas grand-chose à proposer. Or,
c'est justement ce qui a manqué aux Rojiblancos à tous les niveaux. On n'a pas
ressenti une volonté de faire mal à l'adversaire aussi bien en attaque où les
offensives auraient pu être un peu plus tranchantes, que derrière, qui a livré
une seconde période largement en dessous de ses standards. Rien n'est encore
catastrophique niveau classement mais l'attitude doit vite se remettre au
niveau de la Première Série au risque de subir de nouvelles déconvenues et bien
plus sévères que celle-ci.
NB : Pour poster un message sur le blog :
1) Vous
écrivez votre message
2) Dans
"sélectionner le profil", vous choisissez "Nom/URL" et vous
remplissez juste le champ "Nom" par votre prénom
3) Valider
votre message en appuyant sur le bouton "Publiez un commentaire"
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire