lundi 15 octobre 2018

Championnat – PwC vs HEC – 29.09.2018

ALERTE TOP SPIEL !!!! PwC défie l’ogre HEC. Pas question de faire la fête à Athéna ce week-end, ça va castagner fort. Voici les 14 volontaires pour mater les jeunots d’HEC.






Quentin













Youn
Ilias

Jérém

Loïc

Hugo

Gaby








Marzouk


Clém H

Paul




Peter





Youss





Doug

















Charles







Après leur éclatante victoire de la semaine passée, les joueurs HEC s'avancent aussi confiants que les Monstars face à la bande à Bugs Bunny. Pas de Michael Jordan chez les Rojiblancos mais 14 samouraïs prêts à laisser leurs vies sur le rectangle vert. Enfin 13, car rapidement le mollet de Loïc lâche et notre vétéran doit céder sa place.






Comme attendu, les joueurs bleus ont plus la possession du cuir dans ce début de rencontre. Collectivement c'est aussi huilé qu'un bodybuilder pendant un concours de culturisme.  Ça permute et bouge dans tous les sens côté bleu à tel point que la défense de Price se croirait dans les couloirs de l’Assemblée avant un remaniement ministériel. La concentration et la solidarité sont aux Rojiblancos ce que les poings et les pieds sont pour Chuck Norris : ses armes les plus efficaces. D'ailleurs, comme le pense le seul karatéka moustachu du Texas, la meilleure défense c'est l'attaque ! Suite à un bon pressing de la défense des bleus, Charles se retrouve en face à face avec le gardien. Ayant sans doute ses vacances en tête et le décalage horaire dans les pattes, Charles ne parvient pas à conclure victorieusement l'action et bute sur la sortie du portier adverse. Malgré cette alerte, ce sont surtout les bleus qui ont le contrôle de la gonfle. Pour autant, ils ont dû mal à mettre vraiment la défense de Price en difficulté. Sauf sur quelques accélérations dont ces futurs DAF ont le secret. Sur l'une d'elle, Ilias gêne (accroche ?) l'attaquant d'HEC qui ne peut ajuster Quentin. L'arbitre reste impassible. PwC a eu chaud mais ne lâche rien. Soucieux, l'arbitre prend régulièrement des nouvelles de "M. Chahb", victime de fautes à répétition, et lui demande s’il veut un soin. Décidément, Youss est connu de tous les arbitres de France et de Navarre. HEC croit bien faire la différence sur corner mais Youness et ses lunettes sont présents pour empêcher un coup de tête déterminé de franchir la ligne de but. Cette action reflète un léger relâchement de Price en fin de période.

Rien de dramatique car la pause est atteint sur un score nul et vierge. La seconde période repart sur le même duel musical. Côté bleu c'est dur et conquérant comme une chanson d'AC/DC. PwC préfère plutôt Pink Floyd "Another brick in the wall". Mais pas que. Les Rojiblancos réalisent quelques mouvements déstabilisants devant et ils sont prêts à saisir toute opportunité pour prendre l'avantage. Cette opportunité, ils vont se la créer de fort belle manière. Après une bonne circulation de balle, Hugo est trouvé sur le côté gauche. Il adresse un très bon centre qui trouve la caboche de Peter. La frappe est décroisée et lobée ce qui prend à défaut le gardien d’HEC. Il reste une bonne vingtaine de minutes et HEC Panathénées n’as pas l’intention de rester dans la panade. Les bleus enchaînent les offensives sur les cages de Quentin. Mais Doug, Jerem et toute la défense dressent devant HEC tel Gandalf : « VOUS NE PASSEREZ PAS !!!! ». PwC se dirige vers une victoire de haute lutte jusqu'aux ultimes instants du match. Dernier action, dernier ballon balancé dans la boîte. En apparence, il n’y a pas grand-chose à craindre, sauf pour Youness. Au moment de dégagé le pied de Youness se transforme en marshmallow. Est-ce le choc sur les loupes qui ont altéré sa vue ? Toujours est-il que le numéro 3 des Rojiblancos foire complètement son dégagement et que la gonfle atterrit alors dans les pieds de l'ailier droit qui fusille Quentin. Ce but est encore plus cruel qu’un été chanté par Bananarama. Les quelques minutes de temps additionnel ne suffisent à aucune des deux équipes pour aller chercher la victoire.

Dans l'absolu, tenir en échec cette équipe d'HEC est une bonne perf mais le scénario ferait passer la quinine pour du sucre. Oublions cette erreur individuelle pour souligner l'énorme match collectif de l'ensemble des Rojiblancos. Nul doute qu'en rééditant ce genre de performances, la victoire n'échappera pas longtemps a Price.

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